La vie de l'homme moderne ne peut être imaginée sans sucre.
L’humanité ne sait toujours pas de manière fiable au cours de quel siècle les gens ont pu produire du sucre et depuis combien de temps ils l’utilisent dans leur alimentation. Selon des scientifiques, l'histoire de l'apparition du sucre serait originaire de l'Inde plus de 3000 ans av.
Pour la première fois, le sucre pouvait être obtenu à partir de la canne à sucre. Les premières mentions de ce produit sont décrites dans l'ancienne épopée indienne «Ramayana», et le sucre a été nommé d'après le mot indien «sarkar», qui signifie «sucré».
Au Moyen-Orient, le sucre a été découvert au début du 4ème siècle avant JC, grâce aux Arabes qui l'ont apporté de l'Inde. Il existe une histoire intéressante selon laquelle la méthode d'obtention du sucre raffiné a été imaginée en Perse. Les Perses ont d’abord proposé une méthode pour obtenir un produit raffiné sucré, en digérant les matières premières à plusieurs reprises et en les nettoyant. Après un certain temps, les commerçants et les voyageurs portugais et espagnols ont appris l'existence de cette plante miracle.
Il est utile de savoir que le sucre ne s'appelait à l'origine pas de sucre, ni n'importe quoi - «douceur», «miel fabriqué sans abeilles», «doux sel», mais pas de sucre.
Rencontrez les Européens avec du sucre
Les Européens ont découvert le sucre de canne en 325 av. Merci au grand commandant de la marine Alexandre le Grand et à l'explorateur Nearka après son voyage dans l'océan Indien. Cependant, le produit n'était pas largement distribué à cette époque. Ce n’est qu’au début du 7ème siècle, lorsque les Arabes ont conquis l’Asie et ramené l’usine en Méditerranée que le sucre a commencé à gagner peu à peu les cœurs. L'usine s'est acclimatée avec succès dans la vallée du Grand Nil et de la Palestine. Au bout d'un moment, la culture apparaît en Syrie et conquiert ensuite l'Espagne et l'Afrique du Nord.
Une nouvelle étape dans la vulgarisation du sucre est arrivée au XIIe siècle, grâce aux campagnes des croisés sur les terres syriennes et palestiniennes, où la plante entre dans les pays de la Méditerranée. Historiquement et géographiquement, c’est ce qui s’est passé avec le développement du commerce du sucre aux XIV-XVv. Venise est la capitale du sucre. Toutes les fournitures de sucre d'Inde s'arrêtent ici. Ici, ils traitent et nettoient également la matière première, donnant au sucre une forme de cône, après quoi le produit se répand dans l’ancien monde.
Bon à savoir: en Angleterre, au début du XIVe siècle, le coût d'une cuillerée à thé de sucre équivalait à un dollar américain moderne.
Au début du XVème siècle. après que les Portugais eurent colonisé de nouveaux territoires, la canne à sucre était cultivée à Madère. Les îles Canaries, sous contrôle espagnol, deviennent également le site de culture active de plantes. Aujourd'hui, tous les pays européens ont cherché à établir leur propre production d'un produit sucré.
Bon à savoir: jusqu'à la révolution française de 1789, la France occupait la première place parmi les principaux pays consommateurs de sucre de canne à sucre.
Premier sucre de l'Amérique
Après la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb, l'histoire du sucre a de nouveau connu une nouvelle phase de développement. Pour la première fois, des plants de canne à sucre ont été plantés sur l'île de San Domingo, où, en 1505, le premier sucre avait été produit. Treize ans plus tard, sur l’île, 28 entreprises de culture et de transformation de la canne à sucre étaient en activité. Après un certain temps, l'usine entre sur le territoire du Pérou, du Mexique et du Brésil.
Depuis 300 ans, la majeure partie de la production mondiale de sucre est concentrée dans les Caraïbes. Mais l'histoire de la propagation de la canne à sucre n'est pas terminée. Il s'est avéré que le climat de l'Indonésie, d'Hawaï, de l'archipel des Philippines et des colonies françaises situées sur les îles de l'océan Indien est très favorable à la culture de cette plante. Et au début du XIXe siècle, le monde entier était au courant de la canne à sucre.
Comment le sucre provient-il des betteraves à sucre?
Le fait que le sucre soit dans la betterave a été révélé pour la première fois en 1575, grâce aux travaux du célèbre chercheur Olivier de Ceur. Seulement deux siècles plus tard, en 1747, cette découverte fut prouvée par le chimiste allemand Andreas Sigismund Marggraf. Grâce aux expériences, il a pu isoler une petite quantité de sucre des trois types de betteraves. Le scientifique lui-même, alors, ne comprenait toujours pas quelle grande découverte il avait faite. Il a publié des informations sur ses travaux dans une revue scientifique française, mais les lecteurs et le monde académique n’ont pas réagi.
Après un certain temps, Sigismund Marggraf eut un disciple et disciple de Karl Franz Ahard, qui le pouvait en 1799. pour présenter le travail effectué à un auditoire élevé, où il a réussi à convaincre tout le monde qu'il est beaucoup plus rentable d'obtenir du sucre de betterave que de la canne à sucre. En conséquence, déjà en 1801. La première sucrerie pour la production de sucre de betterave apparaît.
Après que Karl Ahard ait ouvert sa propre usine, sa vie fut remplie de grandes difficultés. Ce n’était pas facile pour un scientifique de vivre, car les marchands de sucre de canne ont déclaré une guerre tacite contre lui, ridiculisant son nom dans des magazines, des caricatures, et même tenté de les acheter. Carl Ahard est mort dans une grande pauvreté en 1821. Mais en 1892 Sur le bâtiment de l'académie, dans lequel travaillaient les scientifiques Sigismund Marggraf et Karl Ahard, ont été installées des tablettes commémoratives avec leurs portraits.
Quand le sucre est-il apparu en Russie?
Pour la première fois, du 11 au 12ème siècle, du sucre a été importé d'Europe en Russie. Cependant, à cette époque, ce produit en Russie n’était disponible que pour les riches et les riches. La première sucrerie de Pervoprestolny a été ouverte par Peter I et portait le nom de «chambre à sucre». Les matières premières destinées à la production ont été importées exclusivement de l'étranger. Ce n’est qu’au début du XIXe siècle que la Russie est en mesure d’établir sa propre production de matières premières, cultivant la betterave à sucre, d’abord sous Toula, puis dans d’autres régions de la grande puissance.
http://sladik.net/interesno_saxar.htmlSucre: l'histoire de l'origine du produit et son apparition en Russie
La canne à sucre a longtemps été utilisée par les gens pour produire du sucre. La plante du genre Saccharum a été cultivée en Inde plus de 3000 ans avant notre ère. Les premiers Européens qui ont vu et goûté le sucre étaient les guerriers d'Alexandre le Grand. Ils ont vu beaucoup de choses merveilleuses en marche et ont été frappés par une pierre blanche très sucrée: le sucre brut.
L'historien Onesikrit a participé à la campagne indienne du grand commandant. Il a été surpris par le miel de canne à sucre indien, auquel les abeilles n'ont rien à faire. L'extrait que les Indiens ont reçu du roseau s'appelait saqqara, ce qui, en traduction, signifiait vieux indien: caillou, sable. Au fil du temps, la racine du mot est passée dans les langues des peuples du monde entier, de sorte que le nom de ce produit sonne de la même manière en latin et en russe.
Contexte historique
Les instincts humains incitent les gens à manger des sucreries. La nature leur a donc probablement fourni de nombreuses sources naturelles de sucre.
Pendant longtemps, l'utilisation du miel et de la canne à sucre permettait d'avoir du sucre en quantité suffisante. Cet état de choses a perduré jusqu'au début de l'ère industrielle. D'un point de vue technologique, la canne est idéale pour l'extraction du saccharose, qui est un sucre concentré. La production de ce produit ne nécessitait pas l'utilisation d'équipements de haute technologie et n'était pas difficile à stocker.
Nos ancêtres lointains, les peuples primitifs, connaissaient la possibilité d'utiliser la canne à sucre. La science moderne croit que le lieu de naissance de cette plante est la Nouvelle-Guinée et les îles voisines. Plus tard, il s'est étendu vers l'est et le nord-ouest, a atteint le continent et s'est solidement établi en Asie du Sud-Est, en Chine et en Inde.
La canne à sucre au Moyen-Orient a commencé à se cultiver à l’aube de III. BC Pendant cette période, les Arabes l'ont amené d'Inde. Dans la communauté scientifique, il existe une version selon laquelle la Perse est l'inventeur de la méthode d'obtention du sucre raffiné. Les Perses ont été les premiers à digérer les matières premières à plusieurs reprises, en les nettoyant.
Les voyageurs et les marchands espagnols et portugais ont appris de cette merveilleuse plante de la part des Arabes et ont commencé à la cultiver dans des plantations situées aux îles Canaries et à Madère.
Le coût du sucre a amené le produit à la catégorie des élites. Probablement, le prix élevé a conduit à l'utilisation du sucre à des fins médicinales à l'époque médiévale. Cependant, ceci n’est qu’une hypothèse. Il existe un autre avis selon lequel les pharmaciens étaient chargés de fournir à la population des friandises, c’est-à-dire qu’ils devaient jouer le rôle de simples commerçants.
Selon les preuves écrites du patrimoine culturel indien, le sucre est utilisé depuis très longtemps dans la région de la baie du Bengale. À proximité de Rajmahal, il existait autrefois une ville détruite sous le nom de Sugar (Gur) et le Bengale était appelé un pays du sucre (Gaura). L’épopée indienne décrit les caractéristiques positives du produit et indique l’origine divine du sucre.
Le chinois connaissait le sucre bien avant l’avènement de notre époque. L'Ancien Testament contient des références répétées à ce produit. En Europe, le sucre de canne est devenu connu en 325 av. après le voyage de Noark, quand il est allé explorer l'océan Indien. Le commandant de la marine, Alexandre le Grand, a parlé pour la première fois d’une usine produisant du miel.
Dans les écrits de Pline, vous trouverez une description d'un produit solide, de petite taille et au goût sucré. Sur cette base, on peut supposer que dès le 1er siècle de notre ère le sucre était produit spécialement sous forme solide afin de faciliter son transport en Asie centrale vers les ports de la Méditerranée.
Expansion mondiale
Connaître le sucre ne voulait pas dire sa large distribution. Jusqu'au 7ème siècle, lorsque les Arabes s'emparèrent de l'Asie, il était rarement utilisé. L'usine amenée en Méditerranée a commencé à s'acclimater avec succès et s'est installée en Égypte. Le climat favorable lui a également permis de grandir dans la vallée du Nil et en Palestine. Sous l'influence des Arabes, le sucre solide a commencé à être produit en Perse. Au fil du temps, la culture a commencé à se développer en Syrie, avant de conquérir pleinement l’Afrique du Nord. Le roseau a été cultivé à Chypre et à Rhodes, et il a également atteint les îles Baléares. Après un certain temps, le sud de l'Espagne a été conquis avec des roseaux.
Curieux est le fait qu'en Europe, ils étaient indifférents au sucre. Il a commencé à apparaître chez les personnes royales, comme une sorte de curiosité, ainsi que chez un petit nombre de guérisseurs et de pharmaciens.
Les campagnes des croisés, à partir du XIIe siècle, ont donné une impulsion à la diffusion et à la vulgarisation du sucre. Sur le chemin des soldats du Christ, les plantations de canne à sucre syriennes et palestiniennes se sont rencontrées, à partir desquelles la plante a atteint les pays de la Méditerranée. Le sucre importé d’Asie était considéré comme une épice et était vendu très cher sous forme de poudre, de cônes et de têtes sans forme, et les pays de l’Est en devenaient des fournisseurs essentiels.
Avec le développement du commerce du sucre, il est arrivé que Venise devienne un monopole dans ce domaine. La naissance de l'industrie du sucre est également associée à cette ville. Aux XIVe et XVe siècles, Venise devint la capitale du sucre, dans laquelle tout le sucre en provenance d'Inde venait à Alexandrie. Le traitement et le nettoyage du produit sont effectués ici, en ville, sur l'eau. Au cours du processus de production, le sucre était transformé en cône et transporté à travers l’Europe.
La propagation de la canne à sucre au début du XVe siècle atteint les îles de l'Atlantique. Après la capture de Madère par les Portugais sous la direction de Don Henri, la culture de la plante, importée de Sicile, commence. Les îles Canaries espagnoles sont également en train de devenir un lieu de culture de la canne à sucre. À ce moment-là, un tournant intervient alors que le sucre, produit dans les îles de l'Atlantique, devient un concurrent à part entière du produit sucré asiatique. Avec l'ouverture de la voie navigable vers l'Inde, la célèbre voyageuse Vasca da Gama, Lisbonne devient un port où les routes de transport du sucre se croisent.
L'histoire du sucre a connu un nouveau développement avec la découverte du Nouveau Monde. Lors du deuxième voyage de Christophe Colomb, la canne à sucre a été semée, apportée de Canar, sur l’île de Saint-Domingue. Le premier sucre sur ce produit a été produit en 1505 et, après treize ans, 28 entreprises l’ont produit. En 1520, la culture s'était répandue dans les Caraïbes.
Simultanément à ces événements, Fernando Cortes a amené le roseau sur le territoire mexicain et il est apparu au Pérou grâce à Francesco Pizarro. Après la conquête du Brésil par les Portugais, les plantations de plantes y sont apparues. À la suite de la colonisation du Nouveau Monde, tous les pays deviennent des producteurs de sucre de canne.
Dans les Caraïbes, la production mondiale totale de sucre a été concentrée pendant trois siècles. Cependant, l'expansion de la canne à sucre n'est pas terminée. Il s’est avéré que le climat des colonies françaises situées sur les îles de l’océan Indien lui était très favorable. L’Indonésie, l’archipel des Philippines et Hawaii conviennent également à la culture de roseaux. Au début du XIXe siècle, la canne à sucre a conquis le monde entier, ce qui a pris environ deux mille ans.
La seconde naissance du sucre
À partir de ce moment, chacun des pays européens s’efforce de se doter de sucre de manière indépendante en développant la production coloniale. Parallèlement, des itinéraires de transport et de distribution sont en cours de développement. Presque tous les ports européens ont une usine de transformation de la canne à sucre. Venise et Lisbonne perdent de leur importance et le centre sucrier du XVIe siècle déménage à Anvers. La production se développait également en Angleterre, l'Allemagne et la France ne sont pas en reste.
Avant la révolution, la France occupait la première place parmi les producteurs de sucre. Les Antilles étaient son principal fournisseur et les routes commerciales menaient vers les régions du nord de l’Europe via la Hollande et l’Allemagne. Les Français deviennent également des leaders dans la consommation du produit sucré.
La Révolution française de 1789 a mis en lumière les problèmes à l’échelle mondiale. Avec le début de la guerre entre la France et la Grande-Bretagne en 1792, tous les ports du continent sont bloqués et les colonies sont capturées par l'ennemi. En conséquence, un énorme déficit en sucre s'est développé en Europe. La recherche de solutions pour sortir de cette situation a conduit à l’utilisation de la betterave à sucre pour obtenir un produit indispensable.
Le schéma de la sucrerie
La présence de sucre dans les betteraves était connue dès 1575 d'après les travaux d'Olivier de Serra. Après près de deux siècles en 1745, Marggraf, un chimiste allemand, s’appuyant sur ses expériences, prouva la possibilité d’obtenir du sucre à partir de plantes continentales. Frederick Ashard, élève dévoué du professeur, reprit l'affaire et organisa la production de sucre à l'échelle industrielle. La première entreprise, bien qu'expérimentale, a été créée en 1786 et utilisait des betteraves à sucre comme matières premières. Les résultats ont dépassé les attentes, la production a été étendue et des usines sont apparues en Silésie et en Bohême. Plus tard, des sucreries ont été construites dans la banlieue parisienne. Cependant, la qualité de leurs produits était inférieure à celle du sucre de canne et leur coût était assez élevé.
Histoire du sucre russe
Les Russes ont appris le sucre vers le XIIe siècle, mais ce n’était pas populaire. Le produit sucré ne pouvait être trouvé que lors de la fête des rois, rendue possible par le développement des relations commerciales au 16ème siècle, qui ont été établies au bord de la mer à travers Arkhangelsk.
Seulement au XVIIe siècle, le sucre commence à entrer en vogue avec le thé et le café. L'importation d'un produit dans le pays à partir de cette période augmente légèrement, mais son coût le rend inaccessible à la majorité de la population.
Pour Pierre le Grand, il n'y avait aucun problème insoluble, et il a promulgué un décret sur la construction d'une sucrerie à ses propres frais, chez l'un des marchands. De même, le nouvel industriel s’est vu confier l’obligation de maintenir la société à ses frais.
Face à la faible demande, une usine s’est acquittée de la tâche, mais la demande en sucre a augmenté progressivement et la question de la recherche d’une source de matières premières s’est posée. À l'heure actuelle en Europe, il existe déjà des entreprises pour la production de sucre à partir de betteraves à sucre. L'expérience acquise à l'étranger est donc adoptée et sa propre production est établie avec ce légume contenant du sucre. Ainsi, la canne à sucre importée au XVIIIe siècle est complètement remplacée par les matières premières nationales.
Il existe de nombreux débats sur les méfaits et les avantages du sucre, mais le fait demeure: le produit sucré a conquis l'amour de l'humanité et est présent sur presque toutes les tables du monde.
http://food-tips.ru/000103748-saxar-istoriya-proisxozhdeniya-produkta-i-poyavleniya-eg-v-rossii/Quand est-ce que le sucre est apparu?
Aujourd'hui, il est difficile d'imaginer votre vie sans un produit aussi important que le sucre. On le met dans du thé, du café et d'autres boissons, il sert à confectionner des sucreries, des pâtisseries, des céréales - oui, presque la moitié des plats utilisent du sucre sous une forme ou une autre.
Il est difficile d’imaginer que, bien que le sucre soit connu depuis plus de 4 000 ans, son utilisation généralisée n’est devenue possible qu’il ya quelques siècles et qu’il était auparavant considéré comme un produit destiné aux élus. Et il n’ya jamais eu de consommation de sucre aussi massive, comme de nos jours, dans l’histoire de l’humanité.
Où le sucre est-il venu en premier? Le sucre de patrie est l'Inde. Le tout premier sucre était fabriqué à partir de canne à sucre. Au début, on obtenait du sirop de sucre, puis, par digestion, des cristaux de sucre brun se formaient. L'Inde est également devenue le premier exportateur de sucre, le fournissant à la Perse et à l'Égypte.
Nous savons que le sucre de betterave est apparu il n'y a pas si longtemps. Son histoire a commencé avec Andreas Magrgraf qui a publié un traité scientifique sur la façon d'extraire le sucre des fruits de la betterave à sucre. Son élève Franz Ahard a développé cette idée et a essayé de mettre en place une production de sucre à partir de betterave à sucre. Cependant, le monde a réellement commencé à passer de la betterave à sucre à la production de sucre seulement après que Napoléon eut compris cette idée et commencé à l’appliquer activement en France. La production de sucre de betterave était économiquement rentable et permettait de se débarrasser de la nécessité d'importer du sucre de canne coûteux.
En plus du sucre de canne et de betterave, également connu sous le nom de sucre d'érable, obtenu à partir de sirop d'érable, ainsi que de sucre de palme - de la sève des palmiers. Le premier a été inventé au Canada, le second est venu d’Asie de l’Est.
En Russie, le sucre a été importé pour la première fois, quelque part depuis la fin du XVIIe siècle, et Pierre le Grand a ordonné d'établir sa propre production. Au XVIIIe siècle, nous possédions déjà nos propres usines, bien que le sucre fût encore considéré comme un produit de la noblesse. Ce n'est qu'au 19e siècle que la Russie, après de nombreux autres pays européens, s'est tournée vers la production de sucre de betterave, qui est devenu disponible pour un large éventail de consommateurs.
http://kakizobreli.ru/kogda-poyavilsya-saxar/L'histoire du sucre en Russie
- Pendant des siècles, seuls les élus ont consommé du sucre dans notre pays - une friandise à l'étranger (considérée par beaucoup comme un médicament) était trop chère. Et bien que, depuis le début du XVIIe siècle en Russie, il existait déjà des têtes en sucre, nos ancêtres ne pouvaient même pas rêver de fruits confits et d’autres modes d’utilisation quotidienne du sucre.
Les bonbons au sucre se permettaient seulement de savoir, les confiseurs, qui étaient engagés dans leur fabrication, travaillaient avec le sucre comme des bijoutiers avec de l'or, appréciant chaque gramme. Plus de sucre - bien sûr, de la canne à sucre - a été importé au milieu du XVIIe siècle, avec d’autres produits coloniaux - le thé, puis le café, mais cela a coûté si cher que la question de sa propre production russe s’est posée. Bien sûr, il ne s’agissait que de nettoyer la canne - le sucre cristallin blanc était la chose la plus précieuse. Sous Pierre Ier, la chambre du sucre est apparue au Kremlin. Et en 1719, la première sucrerie russe Pavel Vestov a établi une usine de traitement de la canne à sucre importée à Saint-Pétersbourg du côté de Vyborg, sur la rive de la Bolchaïa Nevka. 600 livres par an (1 pud - 16,38 kg) - ce fut la première "récolte" sucrée de la Russie. De plus, ce sucre n'était ni pire ni plus cher que le sucre importé - telle était la condition posée par Peter.
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http://www.povarenok.ru/contests/mistral_sugar/historyrussiaHistoire du sucre
Il est presque impossible d'imaginer la vie moderne sans le sucre, et même la cuisine - encore plus. Il est clair que nous sommes habitués à la chérie, et quoi que l'on nous dise, peu importe la peur (et absolument pas sans fondement!) Par diverses histoires d'horreur sur le diabète, l'excès de poids, etc., est toujours non, non, oui, et en manger rien sucré. Mais dans l’ensemble, le sucre est non seulement un goût agréable, mais aussi l’une des sources de glucides si nécessaires à notre corps, car sans ce «carburant», nous n’aurions tout simplement pas d’énergie.
Comment les gens vivaient avant l’avènement du sucre, nous ne parlerons pas (ce n’était pas facile pour eux de vivre!). Mais trace l'histoire du sucre.
Les théoriciens de la cuisine et les chercheurs en histoire culinaire adhèrent à la théorie selon laquelle l'Inde est le berceau du sucre. Même dans son nom même (sucre - sarkara), il y a quelque chose d’indien. Dans l’antiquité, l’une des provinces de l’Inde, le Bengale, s’appelait même Sugar Country. Certes, il y a une partie des chercheurs qui ont donné à Babylone et à l'Assyrie une origine de sucre à l'origine du sucre qui existait il y a des milliers d'années. Mais l’établir de cette façon ou non est assez difficile, si possible.
Quoi qu'il en soit, le sucre d'Inde, grâce à des marchands indiens et persans, est arrivé en Égypte. En Égypte, il a été immédiatement essayé d’être utilisé à des fins médicales, ce qui s’est avéré être inconnu. Mais on sait que les Égyptiens cultivaient des betteraves à sucre, mais uniquement pour... nourrir leurs esclaves. De l'Egypte, le sucre est devenu (ce qui est assez naturel) dans l'empire romain. Et à partir de là a commencé l'histoire européenne du sucre.
Vrai a commencé l'histoire de la propagation du sucre en Europe n'est pas immédiatement. Seulement longtemps après la chute de Rome (où ils l'ont caché tout ce temps. L'histoire se tait...), le sucre tombe dans l'Espagne médiévale.
Pendant très longtemps, le sucre n'était produit qu'à partir de canne à sucre. Jusqu'au milieu du XVIIIe siècle, en Allemagne, ils ne trouvèrent pas de substitut valable - la betterave à sucre. Mais ce «savoir-faire» n'a pas été appliqué. Certes, les Britanniques, réalisant ce qui se passait, tentèrent de surenchérir sur un brevet, mais en vain. Seulement au temps de Napoléon, la France a tenté de passer de la production de sucre de canne à un sucre de betterave moins cher, ce qui confirme seulement que Napoléon était non seulement un génie militaire, mais également un excellent économiste (ce n’est pas la seule confirmation de cela).
Il existe également une histoire du sucre au Moyen-Orient. Les Arabes les ont échangés avec succès dans les grands espaces de l'Europe. Après le début des croisades, les croisés sont devenus des fournisseurs de sucre en Europe.
Et est-il possible de contourner l’Amérique du Sud en la matière! Après tout, la canne à sucre est cultivée depuis longtemps comme culture industrielle. Certains scientifiques pensent que c'est de là qu'il est venu en Asie (sans expliquer comment...). Lorsque l'Amérique a été colonisée par les Européens, la production américaine de sucre a considérablement augmenté, proportionnellement à «l'appétit» du Vieux Monde.
Le premier sucre raffiné s'est révélé en République tchèque. C'est - "avéré"! Le propriétaire d'une petite usine de sucre, Yakov Kristof Rad, adorait diverses expériences sur son produit. Eh bien, avant l'expérience...
L'histoire du sucre en Russie a commencé il y a longtemps, il y a presque mille ans. Mais il s’agissait d’un produit tellement coûteux et inaccessible que les gourmands fortunés pourraient se le permettre. Pour les gens ordinaires, il était une merveille. Seulement sous Peter I (et qui d'autre!), Ils ont essayé d'organiser sa production de masse. Mais l'affaire est très lente. Il était nécessaire de faire venir des matières premières de l'étranger et les prix du produit final étaient donc considérables. Et seulement deux cents ans plus tard, ils ont commencé à extraire le sucre des betteraves. C'est là que ça s'est passé! Les usines de sucre en Russie ont commencé à se développer comme des champignons après la pluie. Et très peu de temps a passé, car le sucre est devenu un produit courant et commun.
Aujourd'hui, le sucre est un attribut indispensable de chaque ensemble de produits de toute famille, sans oublier les différents pains d'épices, gâteaux au fromage, tartes, desserts, chocolat, gâteaux, confiseries, etc. ce qui est tout simplement impossible à imaginer sans sucre. La voici qui raconte cette "douce" histoire - celle du sucre.
http://soliperetz.ru/istoriya-saxara/MirTesen
Douce histoire: de la canne à la betterave
Le sucre est aussi populaire sur nos tables que le sel. Et de la même manière, il était autrefois inaccessible et se réunit maintenant à chaque hôtesse.
Quand le sucre est apparu pour la première fois - il n'est pas connu exactement. Mais on sait que le berceau du sucre est l’Inde et que l’on en trouve la première mention dans l’épopée indienne ancienne Ramayana. Très probablement, les Indiens l'ont appris il y a plus de deux mille ans, lorsqu'ils ont découvert que le jus de l'un des roseaux était doux. Le nom du sucre vient du mot "sarkar", qui se traduit par "doux". Le premier sucre était extrait de la canne à sucre et l'appelait "sel sucré" ou "miel sans abeilles". Le miel était déjà connu pour ses propriétés curatives, qui étaient attribuées au sucre et pendant longtemps, il était considéré comme un médicament. Depuis l’Inde, en passant par l’Égypte, le sucre est entré dans l’empire romain, mais avec sa chute, les relations commerciales ont cessé et le sucre ne s’est pas répandu en Europe.
La deuxième connaissance avec le sucre était due aux croisades de l'Église catholique au Liban. C'est à partir de là que la "canne à miel" a été exportée en Europe. Au Moyen Âge, le sucre était transporté en Europe à partir de pays arabes. L’Égypte et la Syrie étaient alors au centre de l’industrie sucrière et la découverte de l’Amérique a progressivement transféré la principale production de sucre aux îles des Caraïbes. Plus tard, les roseaux ont commencé à être activement cultivés sur le territoire des colonies et les puissantes puissances coloniales - Espagne, Portugal, Hollande, Angleterre et France - étaient des fournisseurs de sucre européens. A cette époque, le sucre personnifiait le luxe et la richesse, tout le monde ne pouvait pas se permettre de l'acheter. Le sucre, comme la plupart des épices, était trop cher en raison de la distance et du risque constamment accompagné par les marins. Au début du XIVe siècle, en Angleterre, pour une cuillerée à thé de sucre, ils donnaient un montant égal à un dollar moderne. Les pauvres couches se contentaient d'un épais sirop de sucre, gratté des parois des navires qui amenaient le roseau brut en Europe pour le traitement.
L'idée est alors née de trouver une alternative à la canne à sucre: trouver une plante sans prétention et riche en sucre. La recherche commença et en 1747, on trouva du sucre en grande quantité dans les betteraves, mais personne ne soutint initialement l'idée du scientifique allemand Andreas Margrave. Le thème de son rapport à l'Académie royale des sciences de Prusse - «Les tentatives visant à obtenir du vrai sucre par voie chimique à partir de différentes plantes en croissance dans notre région» - était considéré comme ridicule. Cependant, ils ont reconnu la persistance de Marcgrave, qui a expérimenté tout ce qui poussait dans son jardin. Les pommes étaient trop acides, les poires n'étaient pas assez juteuses, les carottes contenaient trop de carotène et seules les betteraves répondaient à toutes les exigences. Ensuite, Margrave s'est rendu en France avec un rapport - les Français ont réagi plus favorablement à l'idée, mais les Allemands ont décidé de ne pas donner d'argent pour de nombreuses expériences. Seulement à la fin du XVIIIème siècle. Les scientifiques prussiens ont pu prouver que les betteraves pouvaient remplacer la canne à sucre et, en 1801, la première usine de production de sucre de betterave a été construite sur le territoire de la Prusse. L'usine ne se portait pas très bien - les variétés de sucre n'avaient pas encore été sélectionnées, aussi une petite quantité a été extraite. En outre, l'Europe est habituée à importer du sucre de canne à sucre et les marchands coloniaux ont essayé, autant que possible, d'empêcher la production nationale. Plus tard, l'obtenteur Franz Ahard a réussi à apporter des variétés de betteraves à haute teneur en sucre. Ahard poursuivit le travail de Margrave, prouva enfin la rentabilité de la production de sucre de betterave et commença à le produire. Il faut dire que le marchand de sucre de canne était sérieusement inquiet et a lancé une guerre contre Ahard - ils ont calomnié, se sont moqués et ont même tenté en vain d’acheter des pots-de-vin.
Mais quelques années plus tard, l'industrie sucrière a simplement été contrainte de se développer à un rythme accéléré - à la suite de la victoire de l'amiral Nelson, le blocus de l'Europe continentale a été bloqué et il a été coupé, notamment de l'approvisionnement en sucre de canne. Napoléon a ordonné de commencer à faire pousser de la betterave à sucre partout et à construire des usines de fabrication de sucre. C'est Napoléon qui doit à l'Europe la disponibilité généralisée de sucre de betterave bon marché. Le commerce de bonbons a connu une croissance fulgurante et vers le milieu du XIXe siècle, le sucre est devenu un produit populaire et peu coûteux, et son utilisation figure dans les recettes de tous les livres de cuisine européens de cette époque. Aujourd'hui, ces recettes peuvent être très surprenantes - non seulement les desserts ont été préparés avec du sucre, mais également de la viande et du poisson (bien que dans certaines recettes de cuisine scandinave, le hareng soit encore assaisonné de sucre). Et pour son utilisation, tout un arsenal d'outils est apparu: cuillères en argent, pincettes, tamis spéciaux, bols à sucre.
En Russie, le sucre était très familier depuis le 12ème siècle environ, mais, comme en Europe, il n’a été disponible que pendant quelques temps à quelques riches domaines. La consommation de sucre était considérée comme un signe de richesse, et il semblerait que de nombreuses filles marchandes avaient des dents spécialement noircies - prétendument gâchées par une consommation excessive de sucre. Cela devrait témoigner de la richesse d'une future épouse. Pour savoir taper dans les bonbons en sucre, les têtes en sucre hachées, ainsi que les bonbons à la confiture et les baies confites. Les premiers pâtissiers russes en firent diverses figures pour les rois, les boyards et les nobles. Pendant un certain temps, le sucre était même vendu dans les pharmacies en tant que médicament à un prix très élevé - 1 bobine (4,266 g) coûtait 1 rouble. Les participants au cours n'étaient encore que du miel.
Le sucre n'est devenu un produit courant dans notre pays qu'au milieu du XVIIe siècle, lorsque le thé est devenu à la mode, puis le café. Mais il restait toujours un produit coûteux, car il provenait de l'étranger. L'amateur de tous les Européens, Peter Ier, tenta de résoudre ce problème. En 1718, il décréta à l'ordre "le marchand moscovite Pavel Vestov de conserver une sucrerie avec son propre argent et de vendre ses aliments librement". C'était le premier acte législatif sur l'industrie des confiseries en Russie. Certes, toute la production était basée sur le même roseau importé, au bénéfice de Saint-Pétersbourg - la ville portuaire. Pour créer le régime le plus avantageux pour Vestov dans la concurrence avec les marchands européens et américains, Peter Ier a promis d'interdire l'importation de sucre en Russie après la «multiplication de l'usine». L'usine s'est "multipliée" et pendant un certain temps, le besoin d'importer du sucre a disparu - il a réussi à satisfaire la demande. Certes, la demande a augmenté plus vite que l'offre... Et à la fin de 1799, la commission médicale a publié une monographie intitulée "Un moyen de remplacer le sucre étranger par des produits faits maison". Les premières expériences avec des "travaux faits maison" ont été menées par Jacob Esipov, il a construit la première usine de production de sucre de betterave en Russie capable de concurrencer le sucre de canne.
Les entrepreneurs russes faisaient la promotion du sucre blanc nouvellement apparu, comme ils le pouvaient. Ils ne l'ont pas emballé de la même manière qu'aujourd'hui, mais sous la forme d'une «tête en sucre» - il est facile d'imaginer par analogie avec la «tête en fromage», son poids atteignait 15 kg. Ces "têtes" géantes ont été placées dans les décors des vitrines pour attirer l’attention des acheteurs. L'un de ces chefs a même été exposé à la Manufacturing Exhibition de 1870 à Saint-Pétersbourg.
Les énormes têtes en sucre ont ensuite été broyées. La raffinerie a été inventée en République tchèque en 1843 par Jacob Christophe Radom, gérant d’une usine de sucre. Au XXe siècle, le sucre de canne brun commença à être considéré comme de qualité médiocre et sa production commença à céder à la production de sucre de betterave. Ensuite, la production de sucre de canne a de nouveau éclaté, à cause des deux guerres mondiales qui ont sévi dans les régions où la betterave à sucre a été divisée.
Alors qu'est-ce que le sucre? Ce produit alimentaire glucidique est essentiel. Le glucose, obtenu par le sucre à partir du corps, représente plus de la moitié des coûts énergétiques et a la capacité de maintenir la fonction du foie contre les substances toxiques, ainsi qu'un effet bénéfique sur le système cardiovasculaire et nerveux et la digestion, stimule l'activité cérébrale. Sweet conduit à la libération de sérotonine - l'hormone du bonheur qui améliore l'humeur. Ce sont tous des avantages... Cependant, pas tout le monde et pas toujours le sucre est bénéfique. Il est établi qu'avec l'âge, une consommation excessive de sucre contribue aux désordres métaboliques et conduit à une augmentation du cholestérol. En raison de l'augmentation de l'apport calorique dû au sucre chez les personnes qui n'effectuent pas de travail physique, des conditions sont créées pour le surpoids et le développement rapide de l'athérosclérose. Abandonner complètement le sucre "pur" devrait concerner les personnes souffrant de diabète ou présentant une menace de diabète. En outre, nous savons tous que les bonbons à base de sucre gâchent l’émail des dents (vous vous souvenez des filles des marchands?) Et ont un effet néfaste sur la peau. La valeur du sucre est certes très élevée, mais il convient de rappeler que les glucides nécessaires peuvent également être obtenus à partir du même miel et des mêmes fruits, qui sont beaucoup plus sains. Le sucre blanc de betterave ne représente aucune valeur nutritive, hormis l'énergie, et en cela, il perd, selon certains auteurs, la canne brune contenant des vitamines et des fibres végétales.
Le sucre menace-t-il fortement le chiffre? On ne pouvait répondre à cette question qu'en 2003. Si vous traduisez tous les calculs en grammes, afin de ne pas grossir avec le sucre, une personne ne devrait pas consommer plus de 10 morceaux de sucre raffiné par jour (environ 50 grammes). Cela semble être un montant décent - la majorité et ne l'utilise pas. Mais le fait est que cette norme inclut non seulement le sucre, qui est mis dans le thé ou le café, mais contenu dans le reste de la nourriture. Une canette de boisson gazeuse ou un morceau de gâteau couvre cette indemnité journalière. Soit dit en passant, le citoyen américain moyen consomme environ 190 grammes de sucre par jour avec les aliments. En Russie, une personne en mange 100 grammes par jour.
Et la dernière chose... Tout le monde s'intéresse à la façon dont cela, à partir du tubercule de betterave familier, donne un sucre cristallin blanc. Le processus prend beaucoup de temps. Dans les sucreries, les racines de betterave sont lavées puis coupées en morceaux. Des machines spéciales transforment ces pièces en une masse pâteuse. Elle a bourré des sacs spéciaux de laine grossière et les a mis sous la presse. Ainsi, le jus est expulsé, qui est bouilli dans de grandes chaudières jusqu'à ce que l'eau soit complètement évaporée. Lorsque le jus s'épaissit, sa teneur en saccharose atteint 85%. Après cela, le jus condensé est soumis à une purification assez compliquée, à la suite de laquelle un premier sirop clair est obtenu, puis au sucre cristallisé blanc habituel. La mélasse liquide restant dans le processus de production est également utilisée dans le secteur de la confiserie. En fonction de la technologie de production, le sucre est obtenu sous forme de liquide coulant ou solide.La poudre est le sable sucré bien connu qui convient le mieux à la cuisson et que, par conséquent, les cuisiniers utilisent exclusivement. Les morceaux peuvent être raffinés ou «broyés» («sciés») - le raffinage est pressé en petits cubes et broyé est une grosse «tête en sucre» qui a été coupée en morceaux. Il existe également du sucre «candy» sous forme de cristaux solides translucides de forme irrégulière. Il est préparé selon la technologie, qui est très similaire à la technologie de production de bonbons. Ce sucre est très peu soluble dans l'eau.
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Je veux tout savoir
Donc, il reste quelque part 7 jours avant la fin du mois. Et dans notre carnet de commandes en mars, nous n'avons que 7 autres sujets non résolus! Nous ne devons pas être paresseux et divulguer au moins une commande par jour. Et aujourd'hui, nous écoutons le "vétéran" de cette rubrique. Renatar
Est-ce que je n'en ai pas encore marre de mes idées?
Je peux proposer un sujet complètement différent - parlez-moi du sucre, en particulier pourquoi, de nos jours, il n'est plus aussi sucré qu'auparavant, ce que les gens ont commencé à en faire.
Le sucre est un produit sucré qu'un homme a appris depuis longtemps à extraire de la canne à sucre. Cette plante herbacée vivace du genre Saccharum a été cultivée en Inde aussi loin que 3000 ans avant notre ère. Quand en 327 av. e. les guerriers d’Alexandre le Grand sont entrés dans le pays des Indes; leur attention, parmi d’innombrables miracles, a été attirée par une substance solide, blanche et inconnue, au goût sucré - le premier sucre brut de l’histoire de l’humanité.
L'historien grec Onesikrit, qui accompagna Alexandre le Grand lors de ses campagnes, a raconté cela à l'humanité. «En Inde, le roseau donne du miel sans abeilles». Les Indiens appelaient les cristaux sucrés, qui étaient extraits du jus de canne à sucre - "sackara", de l'ancien indien "sarkar" (littéralement: "gravier, cailloux, sable, sucre granulé"). La racine du mot fut ensuite entrée dans de nombreuses langues: saccharon en grec, saccharum en latin, šдkдr en persan, sukkar en arabe, zucchero en italien, en France d'abord zucre, puis sucre, en Angleterre sucre, en Espagne azcar, en Allemagne Zucker et, enfin, en Russie "sucre".
C'est à propos de cette substance douce, qui s'appelle la "vie douce", la "mort blanche" aujourd'hui et qui sera discutée. Comme il se doit, commençons par plonger un peu dans l’histoire de Sa Majesté.
L’homme a toujours éprouvé un désir instinctif de goûter le sucre. L’histoire du sucre est donc étroitement liée à l’histoire de la nature, qui nous a généreusement donné des milliers de plantes et de fruits contenant du sucre.
La canne à sucre et le miel, pendant plusieurs millénaires, qui ont précédé l'ère industrielle, se sont imposés comme les fournisseurs privilégiés de sucre pour l'humanité. La canne à sucre contenait en fait un sucre hautement récupérable et fortement récupérable - le saccharose, dont la production artisanale était assez simple et le stockage simple.
La canne à sucre était utilisée dans le système primitif et a été cultivée depuis les temps les plus anciens. Selon les dernières théories, l'origine botanique de “sacharum robustum” serait originaire de la Nouvelle-Guinée et des îles adjacentes. De là, la canne à sucre s'est d'abord déplacée vers l'est, dans les îles Hébrides, en Nouvelle-Calédonie et aux îles Fidji. Plus tard, la canne à sucre s'est dirigée vers l'ouest et le nord-ouest, atteignant les Philippines, l'Indonésie, la Malaisie, l'Inde, l'Indochine et la Chine.
La canne à sucre, introduite par les Arabes indiens, a commencé à être cultivée au Moyen-Orient au 3ème siècle avant JC et ce sont probablement les Perses qui ont été les premiers à produire une sorte de sucre raffiné par une digestion répétée de viande crue. Il est tout à fait naturel que les espagnols et portugais entreprenants qui ont rencontré tous les mêmes Arabes avec cette plante douce aient finalement fondé ses plantations aux Canaries, à Madère et au Cap-Vert. Il n'y avait pas besoin de parler de profit - au début du XIVe siècle, en Angleterre, ils donnaient 44 livres sterling pour 1 livre de sucre, ce qui en termes de prix actuels est d'environ 1 dollar la cuillère à thé. C'est pourquoi, au Moyen Âge, le sucre restait une merveille et était même considéré comme un médicament. Cependant, un certain nombre d'historiens contestent cette opinion, estimant que, même si le sucre était vendu au détail dans les pharmacies au Moyen Âge, les pharmaciens agissaient alors comme de simples commerçants chargés de «fournir aux citoyens du pain d'épice et du sucre».
L'héritage indien nous apprend que la canne à sucre est connue et utilisée depuis l'Antiquité par les habitants de la baie du Bengale. Près de Rajmahal, il y a les ruines d'une ville qui portait le nom de Gur (sucre) et même le Bengale lui-même s'appelait autrement Gur ou Gaura (pays du sucre). Dans les anciens poèmes indiens, décrivez les avantages du sucre, auquel la mythologie attribue l’origine divine. En Chine, ils ont appris le "sucre de canne" pendant des millénaires avant notre ère. Les Juifs mentionnent plusieurs fois le sucre de canne apporté d'Inde et de Chine dans l'Ancien Testament.
Il semble que grâce à l'amiral Alexandre le Grand, les habitants des pays occidentaux aient appris l'existence de la canne à sucre, 325 ans avant Jésus-Christ. Neark, qui a exploré l'océan Indien, a parlé du roseau qui donne du miel.
Malgré le fait que l'origine historique du sucre est entourée de mystère et de ténèbres, il est connu que le mot sucre a une étymologie indienne.
Le terme sanscrit «sarkara» a donné naissance à toutes les versions du mot sucre en langues indo-européennes: sukkar en arabe, saccharum en latin, zucchero en italien, seker en turc, zucker en allemand, sucre en anglais, sucre en français.
Caravanes de sucre.
Vers le 3ème siècle avant JC, les commerçants indiens et persans ont commencé à apporter du sucre sur les côtes de la Méditerranée orientale, en Égypte et en Arabie. De nombreux auteurs anciens ont écrit sur la substance blanche et sur la possibilité de son utilisation en médecine et en nutrition.
Au premier siècle de notre ère, l'historien Pliny, dans son ouvrage sur les sciences naturelles, parle du sucre de la manière suivante: «L'Arabie produit du sucre, mais celui de l'Inde est plus célèbre. C'est du miel obtenu à partir de canne. Il est blanc.........., se casse avec les dents, le plus gros morceau de la taille d’une noisette. Il n'est utilisé qu'en médecine »(Historia Naturalis, livre II, 17). Sur la base de ce texte, on peut conclure que le sucre est désormais un produit solide qui facilite son transport par caravanes en Asie centrale vers les ports méditerranéens, d'où il est ensuite envoyé en Grèce et sous l'empire romain.
Cependant, l'utilisation du sucre est encore assez limitée, jusqu'à ce que les Arabes, qui ont pris l'Asie au 7ème siècle, en ont importé de la canne à sucre et ont tenté de l'acclimater dans les pays méditerranéens qu'ils occupent. Ainsi, la canne à sucre a pu s'enraciner principalement en Égypte, puis dans la vallée du Nil et en Palestine, sur la côte du Jourdain. Les Arabes ont enseigné aux Perses l'art de fabriquer du sucre solide. Sous leur influence, la canne à sucre conquiert bientôt la Syrie, l’Afrique du Nord, Chypre, Rhodes, les Baléares, puis le sud de l’Espagne.
Dans le même temps, l'Europe chrétienne ignore pratiquement ce produit exotique, qui apparaît progressivement dans les cours royales et chez certains pharmaciens et qui arrive avec des caravanes en provenance de l'Asie lointaine.
Grâce aux croisés du XIIe siècle, le sucre gagne en popularité et en distribution. Ils ouvrent en Syrie et en Palestine des plantations de canne à sucre cultivées par des Arabes. Grâce à leurs efforts, le précieux roseau est basé sur l'archipel grec, la Sicile, dans le sud de l'Italie et en France.
La nouvelle "épice" est vendue par les pharmaciens à des prix très élevés et sous différentes formes: sucre en poudre, sucettes coniques, sans forme.
L'Est reste le principal fournisseur de sucre des pays occidentaux, dont les besoins ne cessent de croître.
Le commerce du sucre commence à se développer et Venise, qui exerce un monopole sur la Méditerranée orientale, devient la capitale européenne du sucre. Aux XIVe et XVe siècles, des marchands vénitiens ont acheté du sucre d'Inde à Alexandrie. Ce sucre est transformé et raffiné à Venise, où l’industrie de la transformation du sucre est née au milieu du XVe siècle.
Une fois en forme de cône, le sucre s'est répandu dans toute l'Europe. Selon des sources documentaires, Venise aurait fourni à l'Angleterre 100 000 # de sucre en même temps à partir de 1319.
La canne à sucre découvre l'Amérique
L'ouverture du Nouveau Monde a marqué un tournant dans l'histoire du sucre. Après son deuxième voyage, en 1493, Christophe Colomb planta de la canne à sucre à San Domingo, originaire des îles Canaries.
Vers 1505, le sucre fut produit pour la première fois sur cette île, berceau de la production sucrière du Nouveau Monde. En 1518, on comptait déjà 28 sucreries à Saint-Domingue: le droit d'importer du sucre en Espagne autorisait la construction du palais par Charles Quint à Madrid et à Tolède. De Saint-Domingue, la culture de la canne à sucre de 1510 à 1520 s'est étendue à Porto Rico, à Cuba et à la Jamaïque.
Au même moment, la canne à sucre fut importée au Mexique par Fernando Cortes en 1519 et au Pérou par Francesco Pizarro en 1533. Les Portugais, qui conquirent le Brésil en 1500, y plantèrent une canne à sucre après 1520.
L'impulsion a été donnée et tous les nouveaux pays, découverts et colonisés au 16ème siècle et au début du 17ème siècle, sont couverts de plantations de canne à sucre.
Décrivant son voyage à travers les colonies espagnoles en 1620, Antonio Vazquez de Espinoza a déclaré avoir rencontré des plantations équipées de sucreries dans presque tous les pays visités, du Mexique à San Juan et au Chili, en passant par le Venezuela et la Colombie. Équateur, Pérou et Paraguay.
Ce n'est que dans la première moitié du dix-septième siècle que les Français de Martinique et de Guadeloupe ont tenté à leur tour de faire pousser de la canne à sucre et de produire du sucre.
Les Britanniques, qui colonisèrent la Barbade (1627), y créèrent l'industrie du sucre (en 1676, la Barbade pouvait exporter 400 navires de sucre en Angleterre, 150 tonnes chacun). L'histoire de la colonisation des Antilles est colorée par la lutte en cours pour plusieurs pays: l'Espagne, la Hollande, l'Angleterre et la France.
La Martinique et la Guadeloupe poursuivent leur expansion sucrière: en 1790, la Martinique produisait 11 300 tonnes et 10 600 tonnes en Guadeloupe. Les Français ont introduit la canne à sucre en Louisiane en 1751.
Les Caraïbes sont un grenier à sucre.
La zone des îles des Caraïbes a été pendant 3 siècles un véritable «panier à pain». Pendant ce temps, la canne à sucre a continué son tour du monde. Il trouve un site étonnamment favorable sur les îles françaises de l'océan Indien. Lil de France (Maurice) et Bourbon Island (La Réunion) sont recouverts de plantations de canne à sucre. Poursuivant son voyage, la canne à sucre conquiert l’Indonésie, la Formose, les Philippines et les îles Hawaii.
Au début du 19ème siècle, la canne à sucre achève son tour du monde. Cela a duré 2 000 ans. Partant des îles de l'océan Pacifique, la canne à sucre a conquis tous les continents.
De nombreux pays ont commencé la production de sucre, certains l'ont arrêtée, car sa croissance a toujours été soumise aux lois de la concurrence.
Cette première partie de son histoire nous montre que le sucre est un produit international, un produit alimentaire, ainsi que des épices, qui voyage sans arrêt et qui est le plus souvent consommé par des personnes à des milliers de kilomètres de son lieu de production.
Depuis lors, les pays européens, principaux consommateurs de sucre, tentent de parvenir à l'autosuffisance en créant une production de sucre dans leurs colonies. Ils ont leur propre réseau commercial, leur transport et leur traitement. Les usines à sucre apparaissent dans tous les principaux ports européens. Après Venise et Lisbonne, Anvers devient au XVIe siècle le premier centre sucrier de l'Europe. En Angleterre, le nombre d'usines de sucre a augmenté. En Allemagne, il existait déjà plusieurs usines à la fin du XVIe siècle (Dresde, Augsbourg) et il en existait déjà 25 à la fin du XVIIIe siècle. Rouen, Nantes, La Rochelle, Marseille deviennent pour la France les principaux centres de production de sucre.
À la veille de la révolution, la France s'est hissée au premier rang des échanges et de la production de sucre en Europe; la majeure partie du sucre, qu'elle a reçu principalement des Antilles, a été envoyée plus au nord de l'Europe, en Hollande, en Allemagne, en Scandinavie. La France est également en train de devenir l'un des plus gros consommateurs de sucre en Europe (environ 80 000 tonnes en 1789).
Le blocus continental génère du sucre de betterave.
La Révolution française de 1789 et les conflits internationaux qu’elle a engendrés ont paralysé le commerce du sucre français, totalement dépendant du transport maritime. En 1792, la France était en guerre avec la Grande-Bretagne, dont la puissante flotte empêchait une communication régulière avec les colonies américaines. Dès les premiers troubles, la consommation de sucre fut limitée, son prix fut multiplié par 10 en 1795 par rapport au début de la révolution.
La situation s'aggrave lorsque Napoléon établit le Bloc continental (Berlin, le 21 novembre 1806), qui ferme tous les ports continentaux à commerce anglais. Îles françaises aux mains des Britanniques. En 1808, le sucre ne pouvait être trouvé ni à Paris ni dans aucune autre grande ville européenne. C'est ainsi qu'est née l'idée de produire du sucre en France, à partir d'une plante qui pousse sur le continent, suscitant l'intérêt de nombreux chercheurs. La betterave à sucre devient la plante la plus adaptée à la production de sucre.
Depuis 1575, Olivier de Serres a décrit la présence de sucre dans cette plante dans son œuvre «Crop Theatre». Beaucoup plus tard, en 1745, le chimiste allemand Marggraf a présenté ses expériences chimiques à l'Académie des sciences de Berlin afin d'extraire le vrai sucre de diverses plantes poussant sur le continent. Dans ses travaux scientifiques, Marggraf a exhorté ses compatriotes à se lancer dans la culture de la betterave à sucre et de la production de sucre. En 1786, Frederick Ashard, l’apprenti de Marggraf, construisit la première usine expérimentale. Les résultats furent si satisfaisants que les années suivantes furent construits à Silizia et en Bohême. La renommée des œuvres Asharde énorme. En France, deux petites sucreries ont été construites en région parisienne, à Chelles et à Saint-Quan. Cependant, les résultats obtenus par eux étaient tous médiocres, car le sucre qu’ils produisaient était de moins bonne qualité que le sucre de canne et avait un coût élevé.
Le sucre de canne d’ici a commencé à conquérir l’Europe jusqu’au XIIe siècle et jusqu'en Russie.
Le mot russe "sucre" remonte au sanscrit "sarkar" (sarcara), "sackara" (sakkara). Ces noms désignent le jus condensé, les cristaux de sucre non raffinés qui ont été commercialisés. La base du nom du sucre est entrée dans de nombreuses langues du monde.
Cependant, ce n'est qu'au 16ème siècle qu'il est apparu sur la table royale pour la première fois en tant que «produit d'outre-mer» dans le cadre du développement du commerce maritime à travers Arkhangelsk....
Qu'est ce que le sucre?
Toute la gamme de sucre peut être divisée en groupes en fonction de son apparence. Il s'agit de sucre cristallin blanc, non raffiné (brun) et liquide. Il existe différents types de sucre produits spécifiquement pour les besoins de l'industrie alimentaire et nombre d'entre eux ne sont pas destinés à être vendus directement au public dans les magasins.
Sucre en cristal
Le sucre cristallisé est le type de sucre le plus connu des consommateurs du monde entier. Représente le sucre cristallisé constitué de cristaux de couleur blanche. Selon la taille du cristal, le sucre cristallisé confère les propriétés uniques du sucre cristallisé. Les entreprises du secteur alimentaire recherchent ces propriétés en fonction de leurs besoins spécifiques. Outre la taille des cristaux, des additifs spéciaux ajoutent de la variété aux types de sucre.
Sucre ordinaire. Sucre, couramment utilisé dans les articles ménagers. C'est exactement le sucre blanc que l'on entend dans la plupart des recettes de livres de cuisine. Le même sucre est le plus largement utilisé par les entreprises alimentaires.
Sucre De Fruits. Plus petite et de meilleure qualité que le sucre ordinaire. Utilisé dans les mélanges secs tels que les desserts à la gélatine, les mélanges de puddings et les boissons sèches. Le degré élevé d'homogénéité des cristaux empêche la séparation ou la sédimentation de cristaux plus petits au fond de l'emballage, ce qui est une qualité importante des bons mélanges secs.
Spécial boulanger. La taille des cristaux est encore plus petite. Comme son nom l'indique, ce type de sucre a été créé spécifiquement pour la cuisson industrielle.
Ultra doux (superfin, ultrafin, sucre en barre, sucre en poudre). La plus petite taille de cristaux. Ce sucre est idéal pour les tartes et les meringues à la texture très fine. En raison de sa solubilité facile, le sucre ultra-fin est également utilisé pour édulcorer les fruits et les boissons surgelées.
Poudre de confiserie (sucre de confiseurs, sucre à glacer). La base de la poudre de confiserie est du sucre granulé ordinaire, broyé en poudre et tamisé à travers un tamis fin. Environ 3% d’amidon de maïs est ajouté pour éviter le collage. La poudre est disponible à différents degrés de broyage. Utilisé pour le glaçage, dans l'industrie de la confiserie et dans la production de crème fouettée.
Sucre brut. Sucre dont la taille des cristaux est supérieure à celle du sucre ordinaire. Une méthode de traitement spéciale rend ce sucre résistant aux changements à haute température. Cette propriété est importante dans la production de bonbons, de confiseries et de liqueurs.
Saupoudrer le sucre (sucre de ponçage). Sucre avec les plus gros cristaux. Il est principalement utilisé dans les industries de la boulangerie et de la confiserie pour l’arrosage de produits. Les bords des gros cristaux reflètent la lumière, ce qui donne au produit un aspect étincelant.
Sucre non raffiné (brun)
Le sucre non raffiné est constitué de cristaux de sucre recouverts d'un sirop mère à l'arôme et à la couleur naturels. Il est produit soit en faisant bouillir du sirop de sucre, soit en mélangeant du sucre blanc avec de la mélasse.
Il existe un grand nombre de variétés de sucre non raffiné, qui se différencient principalement par la quantité de mélasse (mélasse) contenue. Le sucre foncé non raffiné a une couleur plus intense et un goût de mélasse plus fort que le sucre clair non raffiné.
Le sucre brun clair est également utilisé comme sucre blanc. Le sucre brut foncé a une saveur riche qui en fait un additif spécifique pour divers produits.
Sucre liquide
Il existe plusieurs types de sucre liquide, utilisés dans l'industrie alimentaire. Le sucre liquide est une solution de sucre blanc et peut être utilisé partout où il est cristallin.
Le sucre avec la mélasse est un liquide ambré. Il peut être utilisé pour donner aux produits une saveur spécifique.
Enfin, le sirop inversé. L'inversion ou le clivage chimique du saccharose donne un mélange de glucose et de fructose. Ce sucre est utilisé uniquement à des fins industrielles.
Et maintenant sur les avantages et les inconvénients de ce produit.
Le sucre est l’une des étapes les plus importantes dans le classement des produits les plus populaires. En règle générale, de nombreuses personnes ajoutent du sucre au thé ou au café ou finissent par manger un dessert. En même temps, quand il est question des avantages et des dangers du sucre, chacun affirme avec confiance que ce doux plaisir affecte négativement l’état de la santé humaine. Le peuple n'a pas inventé le sucre sous des noms attrayants: «principal ennemi de l'humanité», «douce mort», «mort blanche». En même temps, pendant les années de guerre ou en période de famine difficile, les gens doivent s'approvisionner en ce produit sucré.
Mère Nature a fait en sorte que sans fournir de sucre au corps humain ne puisse pas faire face. De nombreux fruits, légumes et noix regorgent de sucre biologique naturel, le fructose, qui est assez facilement absorbé par l'organisme. Dès sa plus tendre enfance, si une personne perd des glucides naturels sous la forme d'aliments sains, elle cherche automatiquement des sucreries, des chocolats, des gâteaux et s'habitue progressivement à ces substituts du sucre, qui sont loin d'être utiles. En conséquence, on obtient involontairement une dépendance excessive au sucre de beaucoup de personnes, également appelée «sucre / sucre». Les personnes qui ont grandi avec l'utilisation de raisins, de dattes, de fruits secs, de légumes sucrés et de miel ne seront guère attirées par les produits contenant du sucre.
Quels sont les avantages et les inconvénients du sucre, pourquoi une personne aime-t-elle en même temps la peur de ce produit sucré? Bien que le sucre soit la principale source d’énergie pour notre corps, le nombre de personnes atteintes de diabète a considérablement augmenté récemment.
En entrant dans le corps, le sucre sous l'influence des sucs digestifs est décomposé en glucose et fructose et pénètre dans le sang. L'insuline produite par le pancréas normalise le taux de sucre dans le sang et le distribue aux cellules du corps. L’excès de sucre s’accumule dans le corps et se transforme en plis graisseux peu esthétiques sur l’abdomen, les cuisses et d’autres endroits. Une fois que l'excès de sucre a été retiré des «réserves», le taux de sucre dans le sang diminue et la personne a à nouveau une sensation de faim.
L’augmentation constante de la glycémie peut empêcher le pancréas de produire la quantité d’insuline nécessaire. En cas de manque d'insuline, le sucre remplit le sang, provoquant le diabète. Si le patient ne respecte pas le régime alimentaire et ne contrôle pas la quantité de sucre ingérée, les conséquences peuvent être plus graves, notamment le coma diabétique et la mort.
Compte tenu de la question des avantages et des inconvénients du sucre, il est nécessaire de noter que, malgré la peur du diabète, ce produit sucré est parfois appelé «vitamine de joie». Lorsque les cellules cérébrales souffrent d'un manque important de glucose, une consommation modérée de sucre augmentera effectivement la capacité de travail, réduira activement la fatigue et la mauvaise humeur, ainsi que les maux de tête. Dans le même temps, ce produit sucré est la principale cause de la combustion du calcium, dont une part considérable est consacrée à l'assimilation du sucre raffiné. En conséquence, l'acide monte dans la cavité buccale, des bactéries pathogènes se développent, ce qui conduit à la carie dentaire. Ceci est considéré comme un facteur important lorsqu’on discute des avantages et des inconvénients du sucre.
Une consommation excessive de sucre entraîne un déséquilibre des acides aminés du régime alimentaire, car le raffinage de ce produit sucré élimine presque tous les sels minéraux nécessaires au corps humain. Cela provoque un désordre métabolique qui contribue à l'obésité, des maladies graves des glandes endocrines, du sang et du cerveau. Et les vitamines du groupe B éliminées lors du raffinage du sucre augmentent considérablement le risque de maladies mentales et nerveuses, la polynévrite.
Mais toujours, les bonbons sont partout fortement promus et annoncés. Les fabricants qui fabriquent des sucreries, du chocolat, du caramel et des boissons gazeuses sont extrêmement intéressés à les vendre. Par conséquent, le sucre est étroitement lié aux intérêts financiers de nombreux pays du monde. Si vous ne pouvez pas vous battre avec votre propre faiblesse, remplacez le sucre habituel par du miel ou de la marmelade d'abeille, ce qui apportera des avantages tangibles à votre corps. Et mieux vous appuyer sur les fruits et les fruits secs, car le fructose est beaucoup plus sain, parlant des avantages et des inconvénients du sucre. Essayez de mener une vie active, cherchez d’autres sources de plaisir, vous serez alors moins attiré par la douceur.
Alors, combien de sucre faut-il manger pour ne pas grossir? Les scientifiques du monde entier ont essayé pendant de nombreuses années de répondre à cette question. Et ce n’est qu’en avril 2003 que l’Organisation mondiale de la santé, qui fait autorité, a rendu son verdict. Selon des spécialistes représentant l'Organisation, une personne saine et sucrée ne devrait pas recevoir plus de 10% des calories provenant de l'alimentation quotidienne. Si vous traduisez des grammes en morceaux de sucre raffiné, il sera bien relâché - 10-12 morceaux.
Mais le fait est que le tarif journalier inclut non seulement le sucre, que nous ajoutons au thé, au café ou à la bouillie, mais également au sucre contenu dans le reste de la nourriture que nous mangeons. Pendant ce temps, un pot de boisson gazeuse, par exemple, peut contenir environ 40 grammes de sucre! Après avoir bu un tel pot dans l'après-midi et avoir bu du café sucré au lait le matin, nous dépassons déjà le quota de sucre. Mais que se passe-t-il si on nous offre un gâteau au travail et qu’il est difficile de refuser? C'est ça.
Des Américains infatigables ont calculé que le citoyen américain moyen consomme environ 190 grammes de sucre par jour avec de la nourriture. C'est l'excédent du taux autorisé de 3 fois. Pour le Russe moyen, alors, selon Soyuzrossahar, en moyenne, seule la forme pure (sable et sucre raffiné) consomme 100 grammes par jour. Pouvez-vous imaginer?
Premièrement, il a été constaté que les succédanés du sucre, bien que moins caloriques que le sucre simple, augmentent considérablement l’appétit. Ainsi, une personne commence toujours à prendre du poids. Deuxièmement, un grand nombre d'entre eux ne peuvent pas être utilisés du tout, car il peut se transformer en maux d'estomac.
Enfin, de nombreux médecins estiment que les succédanés du sucre sont en principe nocifs pour le corps humain. Par exemple, dans de nombreux pays, un substitut du sucre cyclomate (30 fois plus sucré que le sucre) est interdit car les scientifiques craignent qu'il ne provoque une insuffisance rénale. D'autres édulcorants ont également été accusés à maintes reprises - certains médecins, par exemple, pensent que la saccharine a des propriétés cancérigènes. Cependant, aucune hypothèse n'a encore été prouvée.
Est-il vrai que le sucre est maintenant moins sucré qu'auparavant?
Avec l'avènement du sucre produit à partir de sucre brut sur le marché alimentaire russe, les acheteurs étaient d'avis que le sucre de canne était moins sucré que le sucre de betterave. L'avis est erroné et complètement injustifié.
Le sucre commercial, produit dans les sucreries à partir de canne brute et de betterave sucrière, répond aux exigences d'une norme unique. Les deux sont un produit avec la même teneur (au moins 99,75%) du même composé chimique - le saccharose.
Le même composé chimique possède des propriétés physicochimiques bien définies, quelle que soit son origine. Par conséquent, les solutions de concentration identiques de sucre de canne et de betterave, c.-à-d. des solutions de concentrations égales de saccharose ne peuvent pas avoir différentes propriétés, en particulier une douceur différente. Ainsi, la douceur du thé ne dépend pas du type de matière première à partir de laquelle le sucre est fabriqué, mais du nombre de cuillères à soupe de sucre que vous y mettez.
Bien qu'il y ait toujours un tel avis:
Le sucre est le nom familier du saccharose, qui désigne les hydrates de carbone solubles dans l'eau, des nutriments précieux qui fournissent au corps l'énergie nécessaire. Le sucre pour le produit appelé «sucre» est extrait du jus de betterave à sucre et de la canne à sucre. Le sucre de betterave est-il différent du sucre de canne? Si nous parlons de notre blanc habituel, et non de la cassonade, alors non. Le produit final résultant d'opérations technologiques perd toute différence de goût.
En plus du saccharose, les sucres naturels comprennent également le fructose (présent dans les fruits et le miel), le maltose (dans les céréales germées, il est également appelé sucre malté), le glucose (souvent appelé sucre de raisin, mais dans le miel, les fruits et les légumes) et le lactose ( sucre du lait).
En règle générale, deux principaux types de sucre sont commercialisés: régulier et raffiné. Nous appelions le sucre raffiné sous forme de cubes, mais le sucre peut aussi être raffiné. Le sucre raffiné est un produit de la plus haute pureté, de qualité supérieure au sucre ordinaire. En Russie, deux documents réglementaires régissent les exigences relatives à la qualité du produit: GOST 21-94 pour le sucre cristallisé et GOST 22-94 pour le sucre raffiné.
Caractéristiques distinctives du produit appelé "sucre cristallisé" - teneur élevée en impuretés: matières colorantes, minérales et autres. Les impuretés causent la couleur du sable et un degré de douceur moins élevé que le sucre raffiné. Une variété de sucre cristallisé est le sucre glace, ce sont des cristaux concassés de sucre granulé dont la taille ne dépasse pas 0,2 mm.
Le sucre raffiné, contrairement au sable, contient moins d'impuretés qui sont éliminées lors du raffinage. C'est plus doux, bien que, franchement, cette différence ne soit pas cardinale. Mais la couleur du sucre raffiné est différente de celle du sucre cristallisé: il est blanc pur, sans impuretés, une teinte bleuâtre est autorisée.
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