Une question sur hergrafiya:
Donner des exemples d’États américains comme les «producteurs laitiers», le «maïs», le «blé» et le «coton».
Réponses et explications 2
Wisconsin - «L’état des blaireaux», «Le pays laiteux d’Amérique», Iowa - le principal produit des entreprises agricoles est le maïs, dans le Minnesota - l’État du blé de l’Alabama est l’État du coton des États-Unis.
Connaissez-vous la réponse? Partagez le!
Comment écrire une bonne réponse?
Pour ajouter une bonne réponse il vous faut:
- Répondez authentiquement aux questions auxquelles vous connaissez la bonne réponse;
- Écrivez en détail pour que la réponse soit exhaustive et n’encourage pas les questions supplémentaires;
- Ecrire sans erreurs grammaticales, orthographiques et de ponctuation.
Vous ne devriez pas faire ceci:
- Copier les réponses à partir de ressources tierces. Les explications uniques et personnelles sont bien appréciées;
- La réponse n’est pas pertinente: "Pensez par vous-même (a)", "Facile", "Je ne sais pas", etc.
- L'utilisation d'un tapis est irrespectueuse envers les utilisateurs.
- Écrivez dans le registre supérieur.
Des doutes?
Vous n'avez pas trouvé la bonne réponse à la question ou la réponse est manquante? Utilisez la recherche sur le site pour trouver toutes les réponses à des questions similaires dans la section Géographie.
Des difficultés avec les devoirs? N'hésitez pas à demander de l'aide - n'hésitez pas à poser des questions!
http://online-otvet.ru/geografia/5b749678f0470556130bd5b1La réponse
Romashca
Wisconsin - "L'état des blaireaux", "Le pays du lait d'Amérique", État de l'Iowa - Les principaux produits de l'agriculture. est le maïs, dans le Minnesota - l’État du blé en Alabama est l’État américain du coton.
Connectez Knowledge Plus pour accéder à toutes les réponses. Rapidement, sans publicité et pauses!
Ne manquez pas l'important - connectez Knowledge Plus pour voir la réponse tout de suite.
Regardez la vidéo pour accéder à la réponse
Oh non!
Les vues de réponse sont terminées
Connectez Knowledge Plus pour accéder à toutes les réponses. Rapidement, sans publicité et pauses!
Ne manquez pas l'important - connectez Knowledge Plus pour voir la réponse tout de suite.
http://znanija.com/task/447171Donnez des exemples de maïs laitier.
L'enregistrement de nouveaux utilisateurs est temporairement désactivé.
Publié le 23/11/2018 par Geography from Guest
Donner des exemples d’États américains comme les «producteurs laitiers», le «maïs», le «blé» et le «coton».
Réponse laissée par Guru
Je pense coton - Missouri-Iowa Lait-Californie-Blé-Minnesota
Si vous n'aimez pas la réponse ou si elle ne l’est pas, essayez d’utiliser la recherche sur le site et trouvez des réponses similaires en matière de géographie.
http://uchiru.net/geografiya/page10885310.htmlDonner des exemples d’États américains comme les «producteurs laitiers», le «maïs», le «blé» et le «coton».
Wisconsin - "L'état des blaireaux", "Le pays du lait d'Amérique", État de l'Iowa - Les principaux produits de l'agriculture. est le maïs, dans le Minnesota - l’État du blé en Alabama est l’État américain du coton.
Autres questions de la catégorie
Le Japon et pourquoi? Peut-être que cela a été fait par d'autres? (5 exemples de pays au minimum.)
les droits de douane élevés sont plus rentables pour les sociétés automobiles étrangères
d'organiser le montage de voitures en Russie, que d'importer dans le pays prêt.
De nombreuses usines de montage de voitures d’entreprises allemandes et coréennes sont installées à
Région de Kaliningrad. Quels sont les facteurs autres que la disponibilité dans le domaine de la gratuité
la zone économique a contribué à leur implantation. Spécifiez au moins deux
raisons.
Lire aussi
le système existant de pipelines pétroliers, les raisons de la construction de l'oléoduc Trans-Alaska, qui a été construit dans les années 70. À partir de la figure 25, déterminez où les États-Unis importent du pétrole et des produits pétroliers. Comment est-ce expliqué? Appliquer un plan typique des caractéristiques de l'industrie du pays (région). Aidez pzhl, il est très urgent, beaucoup ont demandé qu'il n'a même pas le temps de le faire. (((
http://russkij-yazyk.neznaka.ru/answer/3743763_privedite-primery-molocnogo-kukuruznogo-psenicnogo-hlopkovogo-statov-ssa/Donnez des exemples de maïs laitier.
122. Zones agricoles des États-Unis
Pour les États-Unis se caractérise par une variété exceptionnelle de formes d'agriculture. On peut affirmer que tous ses principaux types, que l'on trouve dans les pays occidentaux économiquement développés, sont représentés ici. Sans surprise, les zones agricoles des États-Unis ont commencé à se former à la fin du XIXe siècle. Au fil du temps, l'extraordinaire diversité des conditions naturelles, les possibilités de commercialisation sans cesse croissantes et le développement du transport de marchandises en vrac ont créé les conditions préalables à une spécialisation étroite non seulement des fermes individuelles, mais également de régions entières, communément appelées ceintures aux États-Unis. Le nombre de ceintures - en fonction du degré de détail de l'étude - peut varier de manière significative. Mais dans la forme la plus généralisée, ils sont généralement distingués 9 (Fig. 191). Il convient de garder à l'esprit que ces dernières décennies, certaines de ces bandes, telles que le coton, ont subi une transformation importante, tandis que d'autres ont beaucoup moins changé.
La zone de production laitière des États-Unis s'est formée à Lakeshore et dans le nord-est au cours d'une saison de croissance relativement courte et de sols peu fertiles. La majeure partie des terres agricoles ici est occupée par des pâturages et des champs de foin améliorés, et de nombreuses cultures de plein champ sont cultivées pour le fourrage vert. Le lait, le beurre et le fromage sont vendus dans les grandes villes et les régions métropolitaines. Voici les entreprises de l'industrie laitière et fromagère. La ferme laitière la plus typique du sud-est du Minnesota, du Wisconsin, au nord de l'Illinois. La population de vaches est particulièrement importante et les fermes laitières dotées de hautes tours d'ensilage constituent la partie principale du paysage rural. Dans la production de lait, de beurre et de fromage (plus de 100 variétés), l’État du Wisconsin occupe la première place.
Fig. 191. Zones agricoles (ceintures) aux Etats-Unis
La ceinture de maïs des États-Unis s'est formée dans la partie méridionale des plaines centrales, où le sol et les conditions climatiques sont extrêmement favorables à la culture de cette culture. Tout d’abord, il s’agit des sols noirs des plaines, qui ont une productivité naturelle très élevée. Le soja est généralement cultivé en alternance avec le maïs, notamment après la Seconde Guerre mondiale; il serait donc correct d’appeler ce maïs-soja maintenant. Les deux cultures sont principalement utilisées pour la production d'aliments pour animaux et de concentrés nécessaires à l'engraissement des bovins et des porcs, ce qui dure également depuis longtemps dans la zone du maïs, ce qui confère à son agriculture une orientation mixte entre l'agriculture et l'élevage. Le profil correspondant a et ceinture de l'industrie alimentaire.
L’État de l’Iowa est le deuxième plus grand pays producteur de maïs et de soja au centre de la ceinture de maïs. Dans certains comtés de l'État, cette culture couvre plus de 70% de la superficie cultivée. Première place non compétitive aux États-Unis Le nombre de porcs dans l'Iowa est de 16 millions (avec une population de 3 millions d'habitants). On peut considérer une sorte de "jumeau" de l'Iowa et l'État voisin de l'Illinois, donnant 1 /5 récolte de maïs et 1 /6 la collecte de soja dans le pays, et le nombre de porcs en second lieu seulement à l'Iowa. En outre, la ceinture de maïs à l'ouest comprend une partie des États du Kansas et du Nebraska, au nord - partie du Wisconsin et à l'est - États de l'Indiana et de l'Ohio.
La colonisation du vaste territoire de la ceinture de maïs, commençant par sa marge orientale, les plaines de l'Ohio, s'est largement développée après l'adoption du célèbre Homestead Act en 1862 (pendant la guerre de Sécession). Cet acte, qui donnait à chaque citoyen américain le droit de recevoir un lopin de terre (gomsed) à l’ouest des Appalaches, signifiait la victoire de l’agriculture paysanne. L'ensemble du territoire idéalement plat de la plaine était divisé en ce que l'on appelle des "étapes de ville" - des places de 10 km de long et de large, soit une superficie de 36 mètres carrés. miles (93,2 km 2). À son tour, chaque kilomètre carré d’un canton était divisé en quatre parties d’une superficie de 64,5 hectares. Une de ces parts a été attribuée à la propriété de la ferme familiale. Habituellement, de 16 à 36 cantons sont combinés en un comté ou un comté - comté.
Tout ce système clair de carrés "d'échecs" a été préservé jusqu'à nos jours (Fig. 192). Dans la plupart des comtés de l'Illinois et de l'ouest de l'Indiana, les exploitations agricoles occupent plus de 90% de la superficie totale du pays et même 95% dans l'Iowa et les régions environnantes du Kansas et du Nebraska. Chaque commune a son propre centre économique - une petite ville qui dispose de tous les services nécessaires (marché, église, école, bureau de poste, banque, hôtel, restaurant, station-service). Ce n’est donc pas du tout un hasard que l’exemple de l’État de l’Illinois qui a travaillé ici dans les années 1930. Le célèbre scientifique allemand Augustus Lesch a fondé son concept de lieux centraux.
Fig. 192. Le projet de découper des cantons et des fermes individuelles aux États-Unis: 1) divise le territoire en navires de commerce; la division de la place de la ville en places; 3) diviser un carré en fermes
À l'ouest du maïs ne se trouve pas moins célèbre ceinture de blé des États-Unis. Géographiquement, cela coïncide avec les grandes plaines, qui ont commencé à être largement utilisées pour l'agriculture à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. - après l'extermination d'énormes troupeaux de buffles, ainsi que l'extermination et la suppression des tribus indiennes locales. Les prairies des grandes plaines, qui avaient des sols très fertiles mais un climat plus sec, se sont révélées être les mieux adaptées aux cultures de blé. Des dizaines de milliers d'immigrants venus d'Europe ont envahi ces lieux et les Prairies ont également été rasées. L’histoire ultérieure de la région a été riche en hauts et en bas, mais récemment son niveau de développement a été relativement stable. La ceinture de blé produit 20 à 25 millions de tonnes de cette récolte par an. Certes, les principales entreprises de minoterie étaient déjà formées au-delà de ses frontières - à Minneapolis, à Kansas City et dans d'autres villes.
Fig. 193. Plan pour une ferme de blé au Kansas
Il est facile de remarquer (fig. 191) que la ceinture de blé des États-Unis se compose de deux parties distinctes, la partie nord et la partie sud, qui diffèrent considérablement par leurs conditions agroclimatiques et culturo-ethniques.
Dans la partie nord (Dakota du Nord et du Sud), l'hiver est trop glacial et venteux, de sorte que seul le blé de printemps mûrit ici. Cette partie est généralement appelée la ceinture de blé de printemps. La population ici est rare, presque entièrement agricole, il n’ya pratiquement pas de grandes villes. La partie principale de la ferme a une spécialisation si étroite dans le blé qu'on peut l'appeler une sorte de monoculture de cette ceinture.
Dans la partie sud (Nebraska et Kansas), où les étés sont beaucoup plus chauds et plus secs, ils cultivent le blé d'hiver, qui a le temps de mûrir avant le début des sécheresses estivales. Ceci est une ceinture de blé d'hiver. Mais le profil de l'agriculture est plus large ici, principalement en raison du fait qu'au cours des dernières décennies, elle s'est également spécialisée dans l'engraissement des bovins et d'autres bovins; par conséquent, les cultures des fermes locales sont généralement plus diversifiées (figure 193). Dans les villes, il y avait aussi de grandes usines de traitement de la viande.
Le décalage des périodes de récolte dans les ceintures de blé de printemps et d'hiver, ainsi que dans les zones voisines du sud qui leur sont adjacentes, conduit ici à l'utilisation d'un moyen aussi rationnel que le transfert de matériel de récolte (moissonneuses-batteuses) du sud au nord pendant la maturation du blé. En même temps, ce ne sont généralement pas les agriculteurs eux-mêmes qui les récoltent, mais des entreprises spéciales qui envoient du matériel et de la main-d'œuvre, qui commencent à récolter au printemps au Texas et se terminent au début de l'automne dans le Dakota du Nord et le Montana (fig. 195). Pendant la période de récolte, les cueilleurs travaillent généralement 16 heures par jour. Mais le travail du combineur est facilité par une cabine fermée avec système de climatisation qui le protège de la chaleur et des pointes épineuses des oreilles battues.
Toute l'histoire du sud des États-Unis est liée à la monoculture du «coup de roi» et à la formation de la ceinture de coton. Le coton est cultivé aux États-Unis depuis plus de deux siècles. Les principales régions productrices de coton étaient d’abord les États du sud-est, où le coton était cultivé sans irrigation, faisant appel à la main-d’œuvre noire - d’abord esclaves, puis de métayers. Ensuite, la ceinture de coton s'est déplacée plus à l'ouest - en Alabama, dans le Mississippi, au Texas, sur une longueur de 2 500 km et est devenue la plus grande région cotonnière au monde.
Mais après la Seconde Guerre mondiale, la situation a radicalement changé. La coopérative traditionnelle a pratiquement disparu et d'anciens locataires nègres se sont installés dans les villes du Nord et du Sud. Dans les années 1980. l'ancienne ceinture de coton était floue. Les grandes plantations de coton n'ont survécu que dans le bas Mississippi, tandis qu'une grande partie de la production a été transférée au Texas et dans les Highlands du sud, où les terres irriguées (avec irrigation par gravité et irrigation au goutte à goutte) étaient dotées d'usines de coton à rendement élevé.
Fig. 194. Chemin et calendrier de déplacement des colonnes mécanisées pour la récolte du blé
En ce qui concerne le reste du territoire du Sud et les zones adjacentes du Nord, une vaste zone s’est formée ici, que nous avons appelée la région de l’agriculture diversifiée avec un degré élevé de conventionalité. En général, il est généralement utilisé pour la culture du blé et du maïs, des cultures industrielles telles que l'arachide, le tabac, le coton, ainsi que pour le bétail et la volaille (poulets de chair).
Dans l'ouest des États-Unis, au cours des dernières décennies, la plus vaste zone d'élevage de bovins de boucherie a été formée avec des centres individuels d'agriculture sèche et irriguée, dont la plus grande est située dans le nord-ouest. Cette ceinture occupe tous les États des Hautes Terres et les parties adjacentes des États des Grandes Plaines et du Pacifique.
La principale spécialité de cette ceinture est l'élevage de jeunes races de bétail. Jusqu'à récemment, il se produisait principalement sur des pâturages naturels, dans de grands ranchs de bovins comptant des milliers, voire des dizaines de milliers de têtes de bétail et des centaines de cow-boys. Mais maintenant, dans un ranch de ce type, un pâturage répandu, dans lequel le pâturage est clôturé dans des enclos séparés, et le bétail distillé périodiquement d’un enclos à l’autre. Dans ce cas, les bergers (cow-boys) ne sont pas nécessaires et le degré d'utilisation des aliments augmente. Les jeunes d'un tel ranch sont envoyés pour cultiver la ceinture de blé d'hiver dans les États, puis pour nourrir et abattre la chaîne de maïs dans les États.
Mais récemment, leurs propres «usines de viande» ont émergé dans la ceinture de la viande et du bétail. Ce sont d’énormes fermes d’engraissement, où jusqu’à 100 000 têtes de bétail peuvent être gardées, mais pas sur des pâturages, mais dans des stalles. Pour ce faire, des stylos pour 200 à 250 têtes chacun sont construits directement à l'air libre, dans lesquels les animaux sont nourris et nourris à l'aide de techniques automatiques, et le dosage est déterminé à l'aide d'un ordinateur. De telles "usines à viande" desservent généralement les grandes villes, telles que la ville de Los Angeles.
Les zones restantes sont situées dans les zones côtières des côtes atlantiques et pacifiques des États-Unis. Ils se spécialisent dans l'horticulture et la culture légumière à la fois dans la zone tempérée et dans les zones subtropicales et tropicales (Floride, Californie et également à Hawaii). Le riz et la canne à sucre sont la principale culture de la région située le long de la côte du golfe du Mexique. Et plus de la moitié de la récolte totale de pommes de terre dans le pays provient de deux États situés à l'extrême nord-ouest, l'Idaho et l'État de Washington.
En général, la production de produits agricoles commercialisables constitue la principale zone de production de maïs.
http://www.e-reading.club/chapter.php/127766/126/Maksakovskiii_-_Geograficheskaya_kartina_mira_Posobie_dlya_vuzov_Kn._II__Regional%27naya_harakteristika_mira.htmlDonnez des exemples de maïs laitier.
L'enregistrement de nouveaux utilisateurs est temporairement désactivé.
Publié le 29/03/2018 par Geography from Guest
Donner des exemples d’États américains comme les «producteurs laitiers», le «maïs», le «blé» et le «coton».
Réponse laissée par Guru
Je pense que le coton - Misisipi
Si vous n'aimez pas la réponse ou si elle ne l’est pas, essayez d’utiliser la recherche sur le site et trouvez des réponses similaires en matière de géographie.
http://zadachki.net/geografiya/page5213576.htmlDonnez des exemples de maïs laitier.
L'enregistrement de nouveaux utilisateurs est temporairement désactivé.
Publié le 29/03/2018 par Geography from Guest
Donner des exemples d’États américains comme les «producteurs laitiers», le «maïs», le «blé» et le «coton».
Réponse laissée par Guru
Je pense que le coton - Misisipi
Si vous n'aimez pas la réponse ou si elle ne l’est pas, essayez d’utiliser la recherche sur le site et trouvez des réponses similaires en matière de géographie.
http://uchebushka.ru/geografiya/page5213576.htmlMaïs =) (1)
Contenu des éléments nutritifs dans 1 kg. Nourrir, g
La teneur en nutriments digestibles, g
0,08 x 0,70 + 0,062 x 0,22 + 0,028 x 0,72
0,05 x 0,73 + 0,044 x 0,47 + 0,026 x 3,55 + 0,082 x 0,26
Conclusion: KSHCHO alcalin, parce que moins d'un.
Le rapport de Ca à P:
0,73: 0,70 = 1,04: 1
Liste de la littérature utilisée.
1. "Nourrir les animaux de la ferme." N.G. Makartsev.
2. "Analyse zootechnique des aliments pour animaux." Coqs
3. Référence "Règles et rations relatives à l'alimentation des animaux de ferme."
4. "Nourrir les animaux de la ferme" Bogdanov.
5. P.P. Vavilov, B.V. Gritsenko, V.S. Kuznetsov, et autres, Production végétale Agropromizdat 1986.
6. Technologie de la culture du maïs qui économise les ressources. Dnepropetrovsk: Institut de gestion du grain des Émirats arabes unis, 2002.
Les règles de l'alimentation de divers animaux.
datte quotidienne pour les vaches laitières: lors de la vente de lait entier - 4,0 kg de cucure, lors de la transformation du lait en beurre - 2,0 kg, pendant la fabrication du fromage - 3,0 kg.
Ensilage de maïs: ration destinée aux vaches tares en gestation en période de stabulation avec une lactation de 3 000 kg, 4 000 kg, 5 000 kg - 12 kg d’ensilage de maïs.
Ensilage de maïs: ration destinée à la fabrication de taureaux en hiver - 5 kg.
Alimentation du tréteau: l'utérus est inactif et dans la première moitié de la récolte - 1,0 kg d'ensilage de maïs, dans la seconde moitié - 1,0 kg, pendant la période d'allaitement - 2 kg.
les verrats-fabricants, sur une tête par jour pendant la période hivernale avec le type d'alimentation concentrée - 0,5 kg de maïs, en été - 0,7 kg.
Truies en lactation en été - 2, 3 kg de maïs.
Porcs 2-4 mois en hiver - 0, 2 kg de maïs.
jeunes poules: les lignes d'œufs ajoutent 20,8% de maïs aux aliments composés, les lignes de viande, 36,5%.
Les poulets de chair dans les aliments prelaunch ajoutent 50% de maïs pour les poulets de chair élevés dans des cages - 45% cultivés au sol - 45%.
Dindes: adultes - 56,8% de maïs.
Canards de lumière légère - 29%, lourds - 24%.
Oies: jeunes - 27%, oies adultes - 12,3%
juments de race supérieure: zherety - 1 kg de maïs en lactation - 2 kg.
Juments de race lourde: poulains - 1 kg de maïs en lactation - 2 kg.
Lapins: entre 30 et 135 jours - 19% de maïs, entre 45 et 90 jours - 14%.
Calculatrice
Estimation sans frais de service
- Remplir une application. Les experts vont calculer le coût de votre travail
- Calcul du coût viendra à la poste et SMS
Votre numéro de demande
À l'heure actuelle, une lettre de confirmation automatique sera envoyée à la poste avec des informations sur l'application.
http://studfiles.net/preview/3557982/page:2/"Maïs ensilé pour la production laitière"
Dans l'Ancien Monde, l'ensilage a commencé à être déposé à partir de la fin du 19ème siècle, mais il n'y avait aucune culture telle que le maïs d'ensilage. Il est apparu seulement dans les années 70 du XX siècle. Et bien que le cheptel en Europe diminue constamment, la superficie ensemencée en maïs reste stable. Le maïs d'ensilage est cultivé partout en Europe, sauf dans les hautes terres, à plus de 900 m d'altitude. La simplicité de la technologie de culture et de stockage est la principale composante du succès du maïs ensilage.
Dans les années 80 du siècle dernier, l’Institut national de recherche agronomique scientifique (INRA, France) et des entreprises privées d’élevage ont commencé à sélectionner du maïs ensilage, compte tenu de la valeur nutritionnelle de la culture pour la production laitière.
Le progrès génétique du maïs ensilé se traduit par un rendement régulier et stable dans des conditions difficiles pour la saison de croissance de la plante. Les hybrides modernes sont moins sensibles aux technologies de traitement car ils sont stables et sans prétention en culture. Le progrès génétique est particulièrement marqué dans le changement de la valeur énergétique du maïs ensilage, qui est principalement associé à l’évolution de la digestibilité des tiges et des feuilles de la plante.
Les entreprises qui ont réussi à déchiffrer le code des gènes responsables de la biogenèse de la lignine, à savoir augmenter l’énergie alimentaire en améliorant la digestibilité de la fibre végétale et en créant des hybrides spéciaux à forte intensité énergétique pour produire de l’ensilage à haute valeur nutritive, ont obtenu le plus grand succès dans cette direction. Depuis 1998, un critère tel que la valeur nutritionnelle a été pris en compte en Europe lors des tests d’état sur l’aptitude des hybrides (inscription au registre). En France, par exemple, il est exprimé en unités de poids sec UFL.
Exemples de production laitière en Europe
Le Danemark possède l'élevage bovin laitier le plus productif d'Europe: la productivité moyenne d'une vache est de 8500 kg de lait par an. En général, il est produit pour l'année 4,8 millions de tonnes: 50% est vendu comme lait de consommation, 25% est destiné à la production de fromage, 15% - beurre, le reste - à la production d'autres produits (principalement du lait en poudre). Une grande partie de la production est exportée (2 milliards d'euros en 2008). Les agriculteurs gardent les vaches dans leurs stalles toute l'année. Seuls les producteurs de lait "biologique" sont tenus de faire paître leurs vaches 150 jours par an. L'ensilage de maïs représente 50 à 65% de l'alimentation des animaux. Dans le pays, la superficie consacrée au maïs fourrage est de 175 000 hectares, dont 155 000 hectares de maïs d’ensilage. Chaque année, les agriculteurs ajoutent plus de maïs à la ration de bétail. En effet, il est plus facile à utiliser que l'herbe, même avec un rendement moyen de 13 tonnes de matière sèche par hectare.
En choisissant des hybrides de maïs d'ensilage, les agriculteurs sont attentifs au rendement et à la teneur en amidon, et récemment, en particulier, à la digestibilité de la fibre.
Comment les pays européens ont-ils réalisé de tels progrès?
Les agriculteurs européens découvrent constamment quelque chose de nouveau et recherchent des approches et des technologies susceptibles d'accroître l'efficacité de leurs activités. Par conséquent, ils s'intéressent non seulement à l'amélioration continue du processus technologique, mais également aux nouveautés de la sélection.
Comme le montre leur pratique, il existe de nombreuses petites nuances dans la production en silo qui, à première vue, n’affectent pas de manière significative le résultat, mais il s'avère que le profit en dépend. Nous énumérons les principaux points sur lesquels il convient de prêter attention.
L'ensilage est une source d'énergie reçue par les animaux principalement à partir de deux composants: l'amidon et les fibres. Si l'amidon est bien absorbé par les ruminants (90–100%), alors au maximum 50% sont absorbés par les fibres. Le maïs étant principalement constitué de fibres et le principal contenu en amidon étant contenu dans le grain, la perte d'énergie due à l'inévitabilité de la masse fourragère est énorme. Une digestibilité faible en fibres (40 à 50%) est associée à sa structure. La fibre cellulaire contient de la lignine (pratiquement non digestible dans le corps de l'animal), de la cellulose et de l'hémicellulose (bien digérée, digestibilité de 20 à 90%). La digestibilité de la fibre dans son ensemble dépend de la force des liens entre ses composants. Les obtenteurs modifient la structure de la paroi cellulaire de la fibre, ce qui affaiblit le lien entre la lignine, la cellulose et l’hémicellulose.
Quelques caractéristiques de la technologie de culture du maïs d'ensilage
Le silo est principalement utilisé pour le bétail laitier comme aliment de base en hiver et en été et en automne. La technologie de la culture du maïs-grain et de l'ensilage ne diffère pas, seule la phase d'assemblage change. Le bon choix de l'hybride, ainsi que le lieu de culture, est un facteur clé pour la réalisation du rendement potentiel du maïs d'ensilage et pour sa qualité.
Pour des rendements élevés, il est important de choisir la date de semis appropriée. Elle doit correspondre au groupe de maturité de l'hybride, pour que la floraison prenne du temps (par exemple, en France, nous sommes fin juillet) - après tout, la floraison détermine la récolte future. Dans les zones où l'humidité est insuffisante, la floraison sera favorable deux semaines plus tôt (en France c'est la mi-juillet - pour une récolte en septembre), ce qui vous permet de limiter le manque d'humidité et, par conséquent, de planifier le moment de la récolte afin que le maïs ne soit pas trop mûr.
La quantité d'engrais azotés appliquée n'affecte pas la teneur en azote dans le silo; toutefois, les conséquences importantes associées à la teneur de cet élément dans le sol, où il n'est pas toujours complètement digéré, ne sont pas exclues.
Par temps froid, les engrais organiques contribuent à la saison de croissance initiale.
Pour choisir le bon hybride, l'agriculteur doit prendre en compte non seulement les conditions de croissance locales, mais également son objectif et ses attentes.
La maturité du groupe est l'un des critères clés lors du choix d'un hybride de maïs d'ensilage. Parce que l'objectif de l'ouvrier de production est d'obtenir 30 à 35% des substances sèches de la plante entière. Un critère particulièrement important pour la maturité précoce dans les zones froides, car la teneur en matière sèche devrait atteindre 28% pendant les années froides. Dans les zones favorables, un facteur comme la température est tout aussi important et il n’est pas nécessaire de choisir un hybride très précoce pour obtenir un rendement élevé en poids sec.
Le deuxième critère à prendre en compte lors du choix d’un hybride est le rendement de la plante entière, mais il n’en est pas moins important car c’est l’offre d’aliments qui en dépend.
La valeur énergétique est un indicateur zootechnique, qui ne peut pas non plus être sous-estimé lors du choix d'un hybride. La valeur énergétique de l'aliment peut être exprimée en unités d'UL ou en kilogrammes de poids sec. La teneur calorique de l'ensilage est maximale à 28–35% de la matière sèche. En cas de dépassement du dernier chiffre, la valeur énergétique de l'aliment diminue en raison d'une diminution de la digestibilité des tiges et des feuilles par les animaux.
Au cours de la période de maturation de l'épi, les conditions météorologiques ne contribuent pas à une photosynthèse intensive. Par conséquent, la teneur en matière sèche de la plante entière dépend entièrement de la tête, qui sèche très rapidement. La teneur en matière sèche des tiges et des feuilles varie lentement et dépend des conditions hydrothermales (humide / chaud). La teneur en amidon de la plante entière varie de quelques pour cent à 30 pour cent dans une masse sèche en moins de deux mois.
Les conditions pendant la saison de croissance affectent le résultat et la qualité de la masse végétative. Par conséquent, pour bien construire le régime alimentaire de l'animal pendant la récolte, il est nécessaire d'analyser la masse verte qui est déposée sur l'ensilage. Le cycle de développement de l'ensilage de maïs est court et intense. Le rendement de l'ensilage à un stade où la teneur en matière sèche est de 32% varie de 10 à 20 tonnes de matière sèche par hectare. Le rendement en masse verte n'est pas le seul critère permettant de déterminer la valeur nutritionnelle du maïs. La teneur en substances sèches de la collection est importante pour une pose correcte sur le silo et pour le reste des composants chimiques qui créent la valeur énergétique de la masse fourragère.
Le rendement maximum en éléments nutritifs et les conditions de conservation optimales sont atteints lors de la récolte du maïs dans la phase de maturité du grain en cire laiteuse. La teneur en matière sèche de la panicule est comprise entre 45 et 50%. La teneur en humidité de la masse à ce stade de développement est habituellement d’environ 70%, et l’aliment ne continue pas à se peroxyder.
Choisir la bonne date de collecte offre la meilleure digestibilité des animaux ensilage.
Lors de la récolte du maïs pour l'ensilage, il convient de collecter non seulement le grain, mais également la plante entière, ainsi que la tige et les feuilles, qui constituent une source supplémentaire d'énergie pour l'alimentation animale. Par conséquent, la récolte est une étape importante, car elle détermine à la fois la quantité et la qualité de la masse d’ensilage de maïs.
À l'avenir, il est nécessaire de minimiser les pertes sur le trajet entre le champ et l'estomac de l'animal. Cela n'est possible que si la bonne technologie est suivie. La masse d'ensilage peut être stockée pendant 12 mois ou plus, et l'étape de la récolte détermine le rendement en matière sèche et la teneur en éléments nutritifs de la masse de maïs récoltée. Une bonne cueillette en temps voulu permettra d'obtenir de l'ensilage de 30 à 35% de matière sèche et fournira un équilibre optimal entre la teneur en amidon dans le grain et la qualité de la partie végétative.
Plus la collecte est tardive, plus le nombre de problèmes rencontrés peut être élevé.
L'ensilage est mal stocké si la teneur en matière sèche est supérieure à 35%. Les grains trop mûrs sont difficiles à broyer et les animaux ne le digèrent pas bien. Les animaux ont des problèmes de digestion si leur régime alimentaire contient beaucoup d’amidon.
Afin de déterminer le bon moment de la récolte, l'institut français de culture de plantes Arvalis a développé une méthodologie basée sur une analyse du degré de maturation du grain. L'amidon en grain se présente sous trois formes: la laiterie, le tabac et le vitré. Au stade optimal de la récolte, les trois formes d’amidon sont réparties dans le grain dans une proportion uniforme de 30:30:30.
Les conditions météorologiques ont également une incidence sur la saison de croissance et les conditions de récolte, ainsi que sur la qualité de la masse d'ensilage. Dans une année froide avec beaucoup de précipitations, l'appareil végétatif fonctionne et mûrit lentement; la photosynthèse est moins efficace, les rendements en souffrent; la production de sucre dans les céréales est limitée, cependant, la qualité de la partie végétative de la plante reste tout à fait satisfaisante. Dans ce cas, le nettoyage devrait être fait plus tard.
Au cours de l'année chaude avec une humidité normale, les plantes poussent bien et donnent un rendement élevé. Un tel scénario météorologique donne de très bons résultats. Pour obtenir une culture de haute qualité, le plus important est de ne pas rater le meilleur moment de la récolte et de ne pas cueillir trop tard: la plante peut paraître verte et le grain est déjà sec.
Les années sèches sont riches en énergie solaire et le cycle de vie de la plante est raccourci. Si, pendant certaines périodes de développement, le maïs n'a pas assez d'humidité, le rendement peut en souffrir. Le grain n'est pas suffisamment versé, la qualité des feuilles diminue prématurément. Par conséquent, la collecte doit être effectuée plus tôt.
Une attention particulière devrait être accordée à la disposition de la fosse de silo. Afin de limiter le contenu de la terre dans la masse fourragère, il est recommandé de bétonner la fosse, de verser le sol autour de celui-ci avec des pierres ou de la couvrir de gravats.
Immédiatement après la récolte du maïs, la teneur en matière sèche est maximale, de sorte que la qualité du signet affectera la préservation de la valeur de la masse d'ensilage. Le maïs haché doit être écrasé et pilonné de la manière la plus complète possible.
Le silo, d’une part, doit être bien écrasé pour le rendre plus facile à cogner. D'autre part, il est nécessaire de laisser de longs morceaux de nourriture afin de fournir le chewing-gum aux vaches. Les pièces plus longues que 20 mm ne sont pas souhaitables et leur nombre ne doit pas dépasser 20% de la masse. Lorsqu'il y a plus de gros morceaux dans la masse d'ensilage, cela indique une mauvaise configuration de la machine de coupe. L'excès de tels morceaux fait que l'ensilage est difficile à cogner et perd rapidement ses propriétés nutritionnelles.
Dans le même temps, il ne faut pas oublier qu'avec une coupe trop petite, l'efficacité du régime alimentaire du bétail diminue. L'amidon vitreux, présent dans la masse d'ensilage du maïs et contenant 32% de matière sèche dans le silo, doit être concassé pour une digestibilité optimale. Pour ce faire, combinez les concasseurs (crackers de maïs) sur les moissonneuses-batteuses.
La composition physique optimale du silo: morceaux de 20 mm de long et plus ou moins de 1%, morceaux de 10 à 20 mm - 10 à 15%, morceaux allant jusqu'à 10 mm - 85 à 90%. La composition chimique optimale de l'ensilage: matière sèche - 30 à 35%, amidon dans la matière sèche - 30%, cellulose dans la matière sèche - 22%.
Pour que la fermentation dans la masse d'ensilage se déroule correctement, il est très important de garantir l'absence d'oxygène dans la fosse. Pour ce faire, la masse d'ensilage est soigneusement enfoncée et la fosse est soigneusement recouverte afin d'isoler de manière fiable la masse de l'air du premier au dernier jour de fermentation. Couvrir la fosse le jour de la collecte, l'isolation fournit un film correctement doublé.
Dans un puits de silo, la perte d’énergie dans l’aliment se produit principalement pendant son ouverture (fermentation secondaire ou aérobie). Par conséquent, afin de limiter ces pertes, réduisez la zone d’apport d’ensilage de la fosse. Le taux de dégradation de la qualité de l'ensilage (taux de pénétration de l'air) dans sa couche superficielle est de 10 cm par jour en hiver et de 20 cm en été.
Le silo est un produit alimentaire obtenu par la conservation naturelle des aliments pour animaux sous l'influence de lactobacilles, qui convertissent les glucides solubles en acide lactique dans un milieu liquide et en l'absence d'oxygène. Le pH de la masse d'ensilage étant très bas, le développement d'autres micro-organismes est impossible tout en maintenant l'état anaérobie. La structure du maïs est particulièrement utile pour un ensilage adéquat: la teneur en matière sèche est élevée, la consistance de la masse d’ensilage empêche une sécrétion excessive de jus, la teneur en sucre est suffisamment élevée pour permettre le bon déroulement de la fermentation des bactéries lactiques. La quantité d'acide lactique doit être relativement élevée - cela est nécessaire pour stabiliser le pH de l'ensilage. La perte d'énergie de masse est due aux zones ouvertes de la fosse lors de la récolte de l'ensilage et à sa qualité insuffisante.
Régime équilibré pour le bétail
Le maïs fourrager est la principale source d'énergie pour le bétail. L'ensilage inclus dans le régime alimentaire des vaches laitières apporte jusqu'à 80% de l'énergie nécessaire à la vie et à la production laitière. Pour que l’ensilage soit bien absorbé par les animaux, un équilibre en azote, en minéraux et en vitamines doit y être maintenu.
Le régime alimentaire des vaches laitières doit être à la fois appétissant, facile à digérer et équilibré pour le fonctionnement normal du tractus gastro-intestinal des animaux, afin de préserver l'équilibre microbiologique. En d'autres termes, il devrait y avoir suffisamment de fibres et d'amidon dans les aliments. En pratique, une bonne alimentation des vaches laitières contient de 22 à 28% d'amidon et de 20 à 25% de fibres sèches. Donc, pour le maïs, vous devez ajouter une source de fibres et d’amidon (fourrage grossier). Les concentrés sont nécessaires pour maintenir un niveau optimal d’amidon, ce qui permet aux animaux de bien digérer les fibres. Une quantité excessive d'amidon dans le régime alimentaire d'une vache peut entraîner une acidose (augmentation de l'acidité dans le tractus gastro-intestinal).
http://www.milkbranch.ru/publ/view/888.htmlDonnez des exemples de maïs laitier.
L'enregistrement de nouveaux utilisateurs est temporairement désactivé.
Publié le 29/03/2018 par Geography from Guest
Donner des exemples d’États américains comme les «producteurs laitiers», le «maïs», le «blé» et le «coton».
La réponse est laissée Umnik
Je pense que le coton - Misisipi
Si vous n'aimez pas la réponse ou si elle ne l’est pas, essayez d’utiliser la recherche sur le site et trouvez des réponses similaires en matière de géographie.
http://umnitsy.ru/geografiya/page5213576.html